jeudi 23 octobre 2008

Le blog de Loris un jeune de 20 ans pour toujours. . Un témoignage poignant.



Le blog de Loris un jeune de 20 ans pour toujours , ce blog est à présent dans mes coups de coeurs.Sur son blog ce texte terrible et bouleversant, lisez-le entièrement, un texte fort .Sa maman continue le combat avec force, courage et détermination.


La drogue ne pardonne pas lorsque tu depasses la mesure avec elle

Salut, je suis la drogue mon nom fait frémir n'est-ce pas? Je suis l'amie fidèle de l'alcool et tout comme lui, je vous déteste au plus haut point, surtout les jeunes....

Je vous hais d'être beaux, intelligents et en bonne santé; heureusement plusieurs d'entre vous sont déjà mes esclaves et sont beaucoup moins reluisants maintenant. Pour ceux qui ne le savent pas, mon travail à moi, c'est l'abrutissement du cerveau; c'est ma spécialité....

J'aime les débiles, les névrosés, les drogués, les amorphes, je n'aime pas la beauté. Je trouve les arbres laids et j'ai une sainte horreur des fleurs. La nature que votre Dieu a créée je la trouve affreuse c'est pourquoi j'expédie les gens qui me consomment dans des pays d'épouvantes ou de désolation d'où très souvent on ne revient jamais....

J'aime quand les gens s'entretuent pour m'obtenir, j'aime les gros trafiquants... les gens sans morale, la saleté, le désespoir et la mort. Je suis mondialement connue. Je traverse les continents à la vitesse de l'éclair et aucune frontière ne me résiste. Je suis partout à la fois, je me fous des lois et des principes et je laisse sur mon passage la destruction et la folie....

Merci de me consommer, de me vendre et de me cacher, votre aide m'est infiniment précieuse pour anéantir ce qui reste d'amour sur terre. Si vous aimez les films d'horreur, si vous voulez connaître l'angoisse et la peur et si vous êtes comme moi l'ennemi juré du bonheur et bien consommez moi sans réserve. Vous n'aurez aucune difficulté à me trouver je suis partout : dans les poches du petit pusher, dans les bars et les brasseries enfin partout où mes services sont requis. Vous pouvez même devenir un de mes vendeurs, je suis toujours à la recherche de sang nouveau tel un vampire....

Je n'ai qu'un seul ami au monde, c'est l'alcool. Il m'aime et me respecte. Il sait très bien que je suis encore plus dangereuse que lui, ensemble nous faisons une belle paire de salauds, nous vivons le parfait bonheur, le nombre de nos victimes augmente sans cesse, que pouvons-nous demander de plus?....

Jeunes moins jeunes voulez-vous me confier vos cerveaux? Je vous promets de les détraquer à tout jamais et je vous promets par la même occasion de faire de vous une loque humaine, dans les meilleurs délais; avec un peu de chance vous pourriez peut-être vous suicider ou terminer votre vie à l'asile ou en prison. Je vous laisse réfléchir. Il faut que je vous quitte, je suis débordée de travail, des millions de gens naïfs m'attendent avec impatience.....

PS : Excusez moi, mais je n'aurai pas de temps à perdre pour assister à votre déchéance ou à vos funérailles. Sans remord aucun!comme vous....

mardi 21 octobre 2008

« Yallah » ! Et vous pour les pauvres vous faites quoi?




Vive émotion suite au décès de Sœur Emmanuelle, dont les combats du cœur et de l’esprit manqueront à tous.

Nous garderons le souvenir ému d’une femme lumineuse qui voua sa vie aux plus démunis, aux familles et à l’enfance malheureuse en leur apportant son précieux soutien et son sourire. La grande intelligence, la jovialité naturelle, mais également le franc-parler qui la caractérisaient ont permis l’accomplissement d’innombrables actions positives, telles que la construction d’écoles, de maisons et de dispensaires en Egypte, en Turquie, en Tunisie, au Liban, au Soudan, aux Philippines, etc.

Toute sa vie durant, Sœur Emmanuelle offrit son courage et toute son énergie à ceux qui croisaient sa route. Des bidonvilles du Caire aux quartiers paupérisés de France, Sœur Emmanuelle s’est rendue par-delà le monde ; là où, frappés par la misère, ses semblables nécessitaient de l’aide.

Aujourd’hui s’est éteinte une grande dame qui oeuvra sans répit durant près d’un siècle au service d’autrui. En présentant ses plus sincères condoléances, rendons hommage à Sœur Emmanuelle et faisons écho à son mot d’encouragement qui réclame de ne jamais s’arrêter : “Yallah, En avant !”


Je garde en mémoire une rencontre entre elle et moi en 2004, une heure de face à face extraordinaire ou nous avons parlé du goût de l'autre, de nos combats, des enfants du monde.

Méditez sur cette phrase chère en son coeur: Et vous....Pour les pauvres que faites vous?

vendredi 17 octobre 2008

Réponse à vos questions, le panier de la ménagère, c'est quoi au juste? ?

Le panier de la ménagère...?

Pour calculer l’index, on se base sur un panier de produits témoins. Il n’est en effet pas possible de relever le prix de tous les produits. Aujourd’hui, il y a 507 produits témoins dans le panier de la ménagère.

Le panier de produits témoins est régulièrement mis au goût du jour. Par exemple, en 2006, les cassettes vidéos ont disparu du panier et ont été remplacés par les DVD. Et le nombre de catégories de prix relevés pour la consommation d’électricité ont été réduites pour refléter la libéralisation du marché européen de l’électricité.

Quelques disparitions marquantes

Lors de la dernière réforme de l’index, 129 produits témoins ont été rajoutés au panier qui constitue l’index et 103 produits témoins ont été retirés. Ont disparu: la margarine de régime, les cigarillos, l’anthracite (type de charbon), le marteau, les tests de grossesse, le vélomoteur, le lecteur de CD, le hot dog ou encore l’eau de Cologne.

De huit à douze catégories

Lors de la dernière réforme de l’index, le nombre de catégories de produits qui composent le «panier de la ménagère» est passé de huit à douze. Pourquoi ? Pour permettre de mieux comparer l’index belge avec l’index des autres pays européens.

La viande loin devant

La viande vient loin devant dans le budget nourriture des ménages belges. Sa pondération est de 4,63% contre 3,1% pour le pain et les céréales et 2,12% pour le groupe «lait, fromage et œufs». Parmi les viandes, c’est le jambon cuit qui arrive en tête (0,58% du budget total des ménages) devant la viande de bœuf (0,55%).

Les localités

L’enquête sur l’index se déroule dans les commerces de 65 localités. Le nombre de localités est resté le même. Mais ces localités ont changé. Les types de commerce dans lesquels les enquêteurs relèvent les prix sont différents. Jusqu’en 1991, on relevait les prix dans les commerces de détail. Mais à partir de 1991, on relevait les prix dans la grande distribution. En effet, fin des années 80, une étude du Comité belge de la distribution a constaté que les Belges préféraient de plus en plus les supermarchés aux petits commerces.

De Bruxelles à Beauraing

Dans la liste des 65 localités où les prix sont relevés pour calculer l’index, toutes n’ont pas le même poids. Les prix dans les grandes villes pèsent plus dans le calcul que les petites. Ainsi, Bruxelles-Capitale a la plus forte pondération, soit 9,6%. Beauraing, Chimay et la Roche-en-Ardenne ferment la marche avec chacune une pondération de 0,1%.

Pauvres ?

L’index colle déjà mal à la réalité du budget des ménages. Et la façon dont il est appliqué aggrave encore les choses. C’est l’index-santé qui sert à indexer les salaires et les allocations. De plus, il est lissé sur quatre mois! En décembre 2007, l’index-santé était de 107,44 (base 2004 = 100). Alors que l’indice moyen est de 108,4.

Avec les augmentations des carburants, l’index-santé s’écarte de plus en plus de l’augmentation réelle du coût de la vie. En 2000, l’essence super coûtait 0,75 euro le litre. Aujourd’hui, elle dépasse 1,2€. Les salaires sont donc en retard sur le coût de la vie. Un travailleur qui gagne 1 500 euros par mois aujourd’hui devrait en fait toucher 1560 euros. C’est 4 % de moins.

Et c’est encore plus dramatique pour les ménages qui sont à la limite du seuil de pauvreté. En 2004, on estimait qu’une personne seule était pauvre si elle avait un revenu de 9 270 € par an, soit 772, 5€ par mois. Un ménage de deux adultes et deux enfants était considéré comme pauvre s’il avait un revenu de 19 468,40 € par an, soit 1 622,37 € par mois.

Or, 15,2% de personnes en Belgique appartiennent à un ménage où le revenu disponible est en dessous de 772,5 € par mois. Ces personnes sont donc menacées de pauvreté. Parmi elles, les femmes et les plus âgés sont les plus fragiles.

L’index-santé ne suffira pas à éviter à ces personnes de basculer dans la pauvreté. Si l’on veut aujourd’hui que ces familles gardent au moins le même pouvoir d’achat, il faudrait augmenter les salaires et pas seulement les indexer.
Budget des ménages et hausse des prix

Octobre 2007 : les prix des produits agricoles et du pétrole flambent. Le mazout de chauffage, le plein de la cuve, augmentent aussi. Et cela fait augmenter en cascade les autres produits de consommation courante: le pain, les pommes de terre… Janvier 2008: le baril de pétrole coûte 100 dollars. C’est un record.

On pense que les prix pourraient encore augmenter. Le problème, c’est que les salaires ne suivent pas la même courbe.

Pourtant, en Belgique, les salaires augmentent automatiquement si le prix de la vie augmente. C’est ce qu’on appelle la liaison automatique des salaires à l’index. Mais l’index qui est appliqué ne tient pas compte de tous les produits pétroliers. Et de toute façon, l’indexation des salaires ne suffit pas à compenser l’augmentation de prix des produits les plus courants. Entre 2000 et 2007, l'indice des prix a augmenté de 18,5%. Les salaires eux, n’ont augmenté, en moyenne que de 16%.

Résultat: le pouvoir d’achat des ménages diminue. Surtout celui des ménages qui ont de petits revenus. Les plus petits revenus ont même du mal à faire face aux dépenses de la vie courante : nourriture, logement, chauffage, santé. Les ménages d’isolés, les familles monoparentales sont de plus en plus à la corde. Pour faire face aux dépenses de base, certaines familles doivent emprunter. Elles se surendettent.

Le budget des ménages en Belgique

Pour calculer l’index, le ministère de l’Economie fait une enquête sur le budget des ménages. Cette enquête observe combien les ménages dépensent, et les produits qu’ils achètent. En 2005, 3 550 ménages ont été suivis. Sur la base de cette enquête sur le budget des ménages, le ministère établit une moyenne pour les 4,4 millions de ménages qui vivent en Belgique.

Le pouvoir d’achat

Le pouvoir d’achat, c’est ce que l’on peut acheter avec ses revenus. Si les prix des biens et des services augmentent et que les revenus n’augmentent pas, vous avez une baisse de pouvoir d’achat. C’est ce qui se passe pour beaucoup d’habitants en Belgique. Celles et ceux dont les salaires n’augmentent pas ou augmentent peu. Celles et ceux qui vivent d’allocations sociales (chômage, pensions, par exemple). Pour les personnes qui ont d’autres revenus que les revenus du travail, le pouvoir d’achat peut augmenter. Par exemple, pour des personnes qui possèdent des biens immobiliers ou des placements financiers.

Hausses de prix

Mi-décembre 2007, Test Achats a sorti une étude sur la hausse des prix. Ci-dessus, nous reprenons quelques uns des 54 produits que Test Achats a étudiés. Les prix ont été relevés en août 2007. Et que voit-on ? Ce sont les produits alimentaires de base et les dépenses liées du logement qui ont le plus augmenté. Par contre, les produits de nouvelles technologies ont diminué. Plus inquiétant encore, Test Achats a calculé l’augmentation des prix des produits depuis 2000 : pommes de terre + 68%, mazout +97%, pommes + 46,5%, œufs + 32%, ...

Même si certains prix baissent, le coût de la vie est en moyenne 19% plus cher en 2007 qu’en 2000. L’indexation des salaires et des allocations sociales ne suffit pas à rattraper l’augmentation. Selon Test Achats, un ménage qui a 2500 euros de salaire par mois, perd 19 euros de pouvoir d’achat par mois.

Depuis octobre 2007, les prix des produits agricoles et du pétrole ont flambé. Cela provoque une nouvelle hausse des prix de l’alimentation et de l’énergie. En novembre 2007, le prix des carburants a augmenté de 23% par rapport à janvier 2007. Et le prix du mazout de 55%. On ne prévoit pas de baisses spectaculaires pour cette année, au contraire.
Source; L essentiel


Un sujet à la Une depuis des mois,nous changeons nos habitudes de consommations mais pour les plus démunis à peine un peu plus de 860 euros par mois qu'est ce qui change au quotidien? Quand le panier est vide, c'est la faim,la déprime, la débrouille le manque de soins de santé, des carences en tout genre.

Il est tout de même incroyable que le coût de la facture énergétique ne soit pas prise en compte , alors que.....Elle est au quotidien, essentielle dans le coût de la vie , le panier de la ménagère est ainsi fait, mais que diable nos factures énergétiques sont une grosse partie de notre budget!

Accepterons nous encore longtemps cette misère galopante jour aprés jour dans notre pays sans de véritables mesures pour aider au bien être de nos concitoyens.

mercredi 15 octobre 2008

17 octobre Journée Mondiale du REFUS de la Misère



Pourquoi,c’est l’affaire de Tous?

Le 17 octobre 1987, à l’appel du Père J. Wresinski, 100 000 défenseurs des Droits de l’Homme se sont rassemblés sur le Parvis du Trocadéro, à Paris, pour rendre honneur aux victimes de la faim, de la violence et de l’ignorance, pour dire leur refus de la misère et appeler l’humanité à s’unir pour faire respecter les Droits de l’Homme.

Le 17 octobre 1992, Monsieur Javier Perez de Cuellar, ancien Secrétaire général de l'ONU, au nom d'un groupe de personnalités internationales rassemblées dans le Comité pour la Journée Mondiale du Refus de la Misère, lance un appel pour la reconnaissance du 17 octobre. Le 22 décembre 1992, le 17 octobre est proclamé Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté par l'Assemblée générale des Nations Unies.

Plus que jamais, il faut agir pour éliminer réellement la misère. Il y a urgence…

• En Belgique, une personne sur sept vit avec moins de 860 euros par mois. Qui peut s’en sortir avec cela ? Un vrai tour de force…

• Disposer d’eau, d’électricité et d’un logement convenable, c’est essentiel. Avoir accès aux soins de santé de qualité, c’est vital. Avoir un emploi et évoluer dans un environnement de travail épanouissant, c’est capital. Etre pauvre ne veut donc pas dire avoir peu ou pas d’argent. Comment trouver un logement agréable et vivable ?

Comment faire pour que son enfant suive une bonne formation ? Que faire contre la discrimination basée sur l’apparence extérieure, si on dispose de trop peu de moyens pour acheter de nouveaux vêtements, pour se faire soigner les dents ? Quels petits plaisirs peut-on encore s’accorder, quelle vie culturelle peut-on se permettre d’avoir ?

• La situation s’est aggravée ces dernières années. Le fossé entre riches et pauvres ne cesse de s’accroître.

• Aujourd’hui, 110.000 personnes font appel à la banque de denrées alimentaires. Soit une augmentation de 50% en 10 ans. La Belgique compte 17.000 sans-abri. Les personnes qui perçoivent un revenu de remplacement ne sont pas les seules à vivre sous le seuil de pauvreté. Suite à l’augmentation des contrats de travail précaires, 5% des personnes qui travaillent, vivent sous le seuil de pauvreté.

• C’est pourquoi nous plaidons pour que de toute urgence, les revenus de remplacement soient augmentés de telle façon qu’ils deviennent supérieurs au seuil de pauvreté. C’est pourquoi nous plaidons pour que les revenus les plus bas soient augmentés.

A l’occasion de la Journée Mondiale du Refus de la Misère, et pour la seconde année consécutive, le Réseau Flamand des associations où les pauvres prennent la parole, le Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté, le Forum Bruxellois de Lutte contre la Pauvreté et la Plate-forme Bruxelloises de la Pauvreté, dans le cadre du Réseau Belge de Lutte contre la Pauvreté se sont rassemblés pour construire un événement phare. Les personnes en situation de pauvreté sont impliquées activement dans la mise en place de l’événement. Toutes les organisations et personnes qui souhaitent s’associer à notre combat sont les bienvenues.

mardi 14 octobre 2008

Lucien Cariat, ex-échevin PS de Charleroi et président de l'ICDI inculpé, a repris possession, en toute légalité, des deux millions d'euros ...



A à la suite d'un incroyable cafouillage dans la tenue de l'échéancier, Lucien Cariat, ex-échevin PS de Charleroi et président de l'ICDI inculpé, a repris possession, en toute légalité, des deux millions d'euros qui lui avaient été saisis, selon plusieurs journaux francophones.

En 2006, la juge Baeckeland avait saisi ces 2 millions d'euros au siège de l'ICDI et dans un coffre d'une agence Fortis de Marcinelle. Lucien Cariat a toujours dit que ces fonds lui appartenaient bien que l'importance de ce patrimoine ne manquait pas de laisser planer des doutes sur son origine. A l'époque, la défense s'était opposée aux mesures de saisie directe et par équivalence ordonnées par le juge. Elle avait introduit une requête en levée de saisie devant la chambre des mises en accusation. Celle-ci n'a pas statué dans les délais et a donc laissé à Cariat le droit de récupérer ses fonds. Au jour où la saisie est devenue libératoire, il a exigé le remboursement des sommes bloquées.

On croit rêver , cette triste réalité est encore une bien triste histoire vraie , pauvre Charleroi!

vendredi 3 octobre 2008

L'Echevin Dallons lance enfin la procédure pour l'engagement d'éducateurs pour le centre d'hébergement de nuit



A deux mois du lancement du plan hivernal,L'Echevin Dallons lance enfin la procédure pour l'engagement d'éducateurs pour le centre d'hébergement de nuit, qui ouvrira ses portes cet hiver rue Dourlet!

Si, il met autant de temps à répondre à ce courrier comme à l'ensemble de ces dossiers, plus de six semaines! Nous pouvons être certains qu'il manquera d'éducateurs pour l'ouverture du plan grand froid à Charleroi!

Offre d'emploi

Recherche éducateur A1 ( ou A2 avec expérience probante)
Pour abri de nuit (pour personnes sans abri)
Contrat à durée déterminée (novembre au 15 avril)
travail de nuit

Contrat A.P.E.(obtenir passeport APE auprès du Forem)

Envoyer lettre de motivation et CV en précisant pour l'abri de nuit supplétif
à Monsieur le Président B. Dallons

CPAS de Charleroi
13 Boulevard Joseph II
6000 Charleroi

Ci desous un article paru dans le Soir du 2 octobre.Isabelle Saussez

Charleroi : Les délais pour un marché public varient La stricte interprétation des statistiques pointe la lenteur de Bernard Dallons.

Les partenaires nuancent.
En collège, mardi, l’échevin de la santé et président du CPAS Bernard Dallons (PS) a donc échappé au feu des questions de ses collègues sur les conditions d’acquisition de son Audi A6. Il a, par contre, dû affronter leurs sarcasmes après la divulgation des statistiques sur les délais de validation des bons de commande, échevinat par échevinat, pour l’année 2007.

Bernard Dallons s’y classe bon dernier, avec une moyenne de 70 jours pour apposer son visa politique sur un bon de commande, contre moins de dix jours pour les autres échevins (voir infographie ci-contre). Du côté du groupe socialiste, comme du maïeur CDH, on nuance : « ce sont des statistiques. Il ne faut en tirer aucune conclusion politique », estime Jean-Jacques Viseur.

Le système électronique de bons de commande, adopté par la Ville de Charleroi, a montré ses limites en imposant parfois des délais déraisonnables. Après l’encodage, les dossiers sont validés par la direction du département, puis par l’échevin ou un membre de son cabinet (le visa politique) avant une ultime ratification par le service « contrôle avant engagement » des Finances. « Les délais peuvent être améliorés, commente le maïeur. Nous allons tout mettre en œuvre pour gagner quelques jours à chaque étape du processus. »

Dans le cas de Bernard Dallons, la réduction des délais peut s’envisager en semaines, si on s’en tient à la stricte interprétation des chiffres. En 2007, la validation d’un bon de commande émis par son échevinat prenait 99 jours, contre 30 à 53 jours pour les autres échevins. Et c’est à l’étape politique du processus que le bât a blessé. « Je suis interpellé par ces 70 jours de délai pour le visa politique. Je passe tous les matins à l’échevinat pour signer les bons, se défend l’intéressé. Je n’ai siégé qu’en juillet, les retards datent peut-être du premier semestre ou de mon installation, quand j’ai dû constituer mon cabinet. Il suffit qu’une poignée des 79 bons ait été bloquée pour gonfler les chiffres. »

La succession des échevins et les transferts de compétences l’accompagnant en 2007 ont sans aucun doute biaisé les chiffres. Les élus attendent donc des statistiques « reflétant plus justement la réalité » avant de tirer les conclusions qui s’imposent.

Charleroi, Ville poubelle ?




« Charleroi, ville poubelle » « Ou tu ramasses ou on te ramasse »
29 septembre 2008 - Question d’actualité de Fabienne Janot-Manandise, Conseillère communale à Philippe Sonnet, Echevin de la propreté.

Monsieur l’Echevin,

Il n’y a pas une semaine, pas un jour sans qu’on ne parle de la propreté à Charleroi, de la saleté de nos rues plutôt devrais-je dire.
Charleroi, ville poubelle ?

Vos services ont connu une multitude de problèmes que ce soit au point de vue du charroi ou du manque de personnel, toujours est-il qu’il ne fait pas bon se promener dans Charleroi.

Aujourd’hui les mauvaises langues disent que vous avez au moins réussi quelque chose, c’est de mettre tous les carolos sur un pied d’égalité : il fait sale partout !

Il me semble évident que nous pourrions acheter tout le matériel en suffisance que cela ne suffirait pas à rendre la ville de Charleroi plus propre tant les mauvaises habitudes sont ancrées. Je sais que vous menez diverses actions quant à la prévention mais il nous faut constater que cela reste insuffisant. Le manque de citoyenneté récurant met notre ville à mal !
Il nous faut reconnaître que « propy » sort d’une longue léthargie.

Puis-je vous suggérer, Monsieur l’Echevin, de lancer conjointement une campagne de sensibilisation claire, innovante et plus responsabilisante ?

Sous le slogan par exemple « Ou tu ramasses ou on te ramasse », sanctionnons plus visiblement les personnes qui jettent leurs crasses en rue et ne respectent pas leur environnement.
Nous savons qu’une équipe de sanctionnateurs existe, elle est totalement invisible pour les citoyens.

Pourriez-vous me dire combien de sanctionnateurs sont liés uniquement à la propreté ?
Quelles sont les données des sanctions effectuées et le montant récolté depuis le 1er janvier 2008 ?
Quel est le contrôle de vos services et ont-ils un calendrier des rues ou des quartiers à arpenter ?


Réponse de l'Echevin:

Il y à 3 constatateurs propreté pour la ville de Charleroi, nous réfléchissons à créer une véritable équipe ce sera une discussion en collège.

Nous avons des problèmes quant aux sanctions, de nombreuses personnes étant insolvables, il nous faudrait réfléchir à des peines de citoyenneté par exemple 4 heures de ramassage en rue pour les personnes en infractions et insolvables.

Un peu léger quand même la réponse de l'échevin de la propreté de Charleroi!

jeudi 2 octobre 2008

L'Echevin Dallons de l'action sociale et président du CPAS de Charleroi à la ramasse!



Je ne peux que vous inciter à voir cette vidéo du dernier conseil communal de ce lundi "Télé Sambre", pour vous rendre compte avec images à l'appui de la ramasse de Dallons.

30/09/08 : Charleroi : conseil communal
Plusieurs points récurrents ont été abordés lundi soir, comme les problèmes de charroi du service propreté, l'état des infrastructures sportives, l'avenir commercial de la métropole, la mobilité ou encore le parking. Toutefois au lendemain du conseil, tout le monde ne parle que de la prestation de Bernard Dallons, qui s'est révélé incapable de s'expliquer sur les dépenses consenties par le CPAS pour sa voiture de fonction et son écharpe scabinale.


http://telesambre.rtc.be/

mercredi 1 octobre 2008

Une clé pour tous!



Bonjour à toutes et à tous,

Le dimanche 5 Octobre, le Ministère de la Crise du Logement donne le coup d'envoi de sa campagne "une clé pour tous."

Viennent à Bruxelles des militants de toute la Belgique afin de manifester leur mécontentement et parler de la scandaleuse absence d'une politique du logement digne de ce nom dans l'ensemble de nos communautés.

Il s'agit non seulement d'une journée festive, avec un défilé, de la musique, des loisirs, de la nourriture et des boissons, mais également d'une journée ponctuée d'une action forte et de témoignages éloquents !

Mobilisez-vous et participez !