mardi 27 mars 2007

Don Quichotte ou Calimero?


Don Quichotte ou Calimero ?

La dernière Heure Charleroi 26 mars 2007
La conseillère cdH, crie au déni de démocratie, contre le règlement du conseil.

Charleroi, Fabienne Manandise, conseillère communale cdH, est outrée : elle avait déposé dans les temps, son interpellation concernant l’urgence sociale et pourtant retirée de l’ordre du jour par la commission ad hoc. Est-ce à dire que cette question était dérangeante pour la majorité ? Non, pas vraiment : il s’agit en fait de simple procédure, une même interpellation ne pouvant pas être déposé deux fois en moins de six mois par le même groupe politique

Or que ce soit Fabienne Manandise, Ingrid Colicis(PS) ou Anne Catiez (Ecolo), les trois dames au combat des sans-abri ont déjà porté le sujet devant le Conseil communal lors d’une même séance, il y a à peine deux mois.

Vu l’urgence de la situation et de la problématique des sans-abri de Charleroi, je ne comprends que je ne puisse pas réitérer une interpellation, ma question est loin d’être identique à la première.

De fait, l’accueil de nuit de châtelet va fermer ses portes ce 31 mars alors que la période hivernale n’est pas terminée et chaque soir, cet accueil fait le plein. Les restos du cœur ferment fin de ce mois (pour cause de plaine de vacance). L’accueil de soirée va également fermer ses portes ce 26 mars alors que la Ville a engagé un temps plein et quatre trois quarts temps jusqu’au 15 avril inclus.

Ces éléments changent la donne et ce n’est tout de même pas rien, trois structures qui ferment, et donc aussi la question ! je m’interroge sur le fonctionnement de la Ville et du conseil communal ! crie Fabienne Manandise qui mène la politique avec plus de cœur que de sang-froid.

Car d’accord, l’urgence est de mise, mais, a priori, le délai de six mois entre les interpellations relatives au même sujet existe pour permettre la mise en place d’un plan d’action.

Le rôle de contrôle des conseillers restant par la suite tout aussi important. Cela peut paraître injuste au regard des souffrances de ceux qui vivent dans la rue mais il serait plus injuste encore de laisser penser que rien n’est fait simplement parce qu’une question, qui sert aussi l’image de celui qui, la pose, est retirée de l’ordre du jour : la démocratie a ses règles que les élus doivent être les premiers à apprendre et appliquer.

Au demeurant, ils peuvent les changer, mais pour cela il faut plus que des individualités…Enfin, si les trois dames de cœur ont souhaité maintenir la pression sur ce dossier peut-être aurait-il été utile de s’entendre entre elles de ne pas abattre les cartes, toutes le même jour au cours d’un vrai combat qui transcendait les partis et le temps médiatiques des tentes sur le quai de Sambre. Mais pour cela il faut maîtriser les règles et son sang-froid.

V.D

1 commentaire:

Anonyme a dit…

un jour on ma appeller jésus et on ma dit tu porte ta croix, j'ai répondu je ne suis pas jésus, un autres jours on ma appeller samaritain j'ai répondu je ne suis pas le samaritain, l'abbé pierre a été aussi mon surnom, guy gilbert aussi, certain sdf continue a m'appeller le père, le cpas m'on surnomer parfois le loup blanc, l'électron libre, l'ex président de cpas lui c'était plutôt l'......., donc tous celà pour te dire fabienne que depuis plus de 14 ans que je travaille aux milieux des potes de la rue des surnom j'en ai us aux moins 100, j'ai raler parfois de ne plus me reconnaitres moi mêmes, mais se qui me rassurre aujourdhui c'et que je vois, j'entend des gens de qui j'attendais rien qui sans cesse me réveille, me pasionne, m'étourdisse parfois par leurs venue inopinnée et viennes comme toi me porter un coup de main, dans mes soirée nocturne, rien que pour celà ne te blesse pas aux nom qui porte confusion, moi denis uvier je te baptisse maraudeusse, je t'appelle mon pôte aussi, je te désigne chef de camps, imagine depuis le mot miss camping quels parcours a tu fais, et tous celà parceque tu es venue nous rejoindre au tente le long de la sambre, rien ne t'obligeais à poursuivre, je n'ai pas peur de le dire si je tiens encore la barre avec autant d'acharnement bien sur bien réflêchit c'est que je sais que dans une ville comme Charleroi, j'ai des combattante dans différents partis politique prête a prendre des risques pour ne pas abandonner les sdf et autres précaire, je ne te nomerai pas marie, tu t'appelle fabienne et certe tu ne serra jamais caliméro...amitié.....denis uvier