vendredi 19 décembre 2008




Chaque mois, Conseil Communal à Charleroi, les conseillers communaux perçoivent alors un jeton de présence de 90,08 euros net.

Je m'engage pour l'année 2009 à verser au RESTOS DU COEUR de Charleroi l'intégralité de ce jeton de présence.

Des actes plus que des mots.

mardi 25 novembre 2008

Mauvaise gestion du dossier l'Echevine voit ROUGE!



Ma question d'actualité de ce 24 novembre à l'Echevine de l'Enseignement Latifa Gahouchi et à l'Echevin de la salubrité publique Philippe Sonnet.

Renseignements pris et après lecture des divers articles de presses concernant la Fête du Sacrifice qui se déroulera le 7 décembre prochain, le moins que l’on puisse dire c’est que dans la gestion de ce dossier règne la plus grande confusion!

Il y à un an, Madame l’Echevine vous acceptiez au nom du Collège de créer une commission de travail reprenant les principaux des Mosquées de Charleroi, le vétérinaire de la ville, les Echevinats compétents ainsi que les Conseillers Communaux; et ce,afin que la Fête du Sacrifice se passe dans les meilleurs conditions et pour la communauté musulmane, et pour la ville et pour la salubrité publique.

Permettez-moi, de vous poser les questions suivantes;

- Combien de fois cette commission s’est-elle réunie et qui y était présent?

- Il apparaît que le courrier adressé par la Ville de Charleroi au Ministre Benoît Lutgen est daté du 12 novembre, quand bien même ce courrier se soit perdu dans les couloirs de l’administration communale, ne pensez-vous pas qu’il est un peu tardif pour une fête qui doit se dérouler le 7 décembre?

- Réquisitionner l’abattoir en urgence ne me paraît pas acceptable, vu qu’il n’y a pas d’urgence, le dossier est connu depuis 1 an!. Et que cela est techniquement et financièrement très lourd pour la ville. Gérer en bon père de famille cela équivaut à gérer dans l’intérêt du plus grand nombre.

- Dés lors pouvez-vous me dire si les différentes conventions sont signés avec les abattoirs agréés par L’ AFSCA?

Je m’adresserai à présent à Monsieur l’Echevin Philippe Sonnet:

- Quel a été votre implication dans ce dossier pour cette année, vous qui avez la salubrité publique et le bien-être animal dans vos compétences?


Mes commentaires perso:

Je vous laisse découvrir les articles de presse ci-dessous, un clic sur l'article pour agrandir le texte et avoir une meilleure lecture.

Réponse du berger à la bergère, il  est tout de même invraisemblable que l’échevine, ne tolère aucune question à ce sujet, si vous êtes un conseiller  de confession musulmane, elle vous taxe d’utiliser le débat uniquement sur le communautarisme, si vous  êtes, comme moi, un conseiller de la majorité, elle vous taxe alors d’utilisation personnelle  du débat pour  amélioration de mon aura politique et médiatique...?

A ce, je lui réponds qu’il est temps que les vieilles pratiques changent et que le débat politique doit se mener aussi  au conseil communal nous sommes tous des élus!.

Le conseiller communal a pour mission également de relayer au conseil , les questionnements des citoyens.

Je vous signale Madame que c'est la communauté qui m'a interpellée et non le contraire!

«  elle est vachement culottée », je n’ai eu aucune réponse à mes questions, Bravo la démocratie ....

Elle avait le dossier en main, il a été mal géré, point.

La Nouvelle Gazette

Le Soir

La Dernière Heure

lundi 24 novembre 2008

Un sujet qui fâche à Charleroi la Fête du Sacrifice....Ou la Ville SACRIFIE la Fête!


Ce soir, conseil communal ou je pose une question d'actualité à ce sujet, vous trouverez ci-dessous quelques articles de presse de ce Week-end traitant du sujet. Ce soir ce sera très chaud !

Fête du mouton : la réponse de Lutgen

À deux semaines de la fête du sacrifice, l'incohérence en terme d'organisation bat son plein. Le ministre wallon de l'Environnement Benoît Lutgen réagit.

On savait que l'organisation de la fête du sacrifice réserverait encore quelques rebondissements. Mais là, c'est au-dessus de toute attente. Il y a tout juste un an, le collège se retranchait derrière le décret wallon pour justifier l'absence de demande de conteneurs destinés à entasser les carcasses et viscères de moutons. Le décret est en effet formel : l'abattage rituel à domicile est interdit.

Cette année, revirement de situation. Le bourgmestre Jean-Jacques Viseur s'en explique : «Nous sommes revenus aux anciennes dispositions en vigueur jusqu'en 2006. C'est vrai que, l'an dernier, nous avions fait une parenthèse en interdisant le service de la police administrative de délivrer des autorisations d'abattage à domicile. J'avais pris cette mesure car l'Afsca (Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire) avait des positions radicales en la matière. Aujourd'hui, je ne fais qu'appliquer la loi. Celle-ci autorise l'abattage à domicile dans certains cas comme durant la fête du mouton pour autant que la bête soit étourdie.» Ce qui est purement et simplement d'une grande hypocrisie puisqu'il est pour ainsi dire impossible d'effectuer des missions de contrôle.

On l'aura compris, loin d'inciter le recours aux abattoirs agréés, cette mesure cautionne ce qui est pourtant largement décrié par les organisations de défense des animaux ! C'est d'autant plus étonnant qu'en parallèle à cette démarche, la Ville rentre une demande de subside à la Région wallonne. On se souvient que, l'an dernier, elle avait débloqué en urgence un budget de 25 000 € pour couvrir les frais d'abattage. Pour se décharger de cette responsabilité, le collège se tourne à présent vers la tutelle, en son nom et pour trois communes associées : Fleurus, Aiseau-Presles et Courcelles. La demande porte sur un incitant de 50 € par animal. Une requête restée sans réponse, selon l'échevine Latifa Gahouchi, chargée par le collège de l'épineux dossier.

Les déclarations de l'échevine ne manquent pas d'irriter le ministre de l'Environnement, Benoît Lutgen. «Le courrier m'est parvenu le 13 novembre. Je suis plus que surpris par cette démarche que j'estime pour le moins étrange et culottée. Vu les échéances, ce n'est pas une manière de gérer un dossier comme celui-là ! Par ailleurs, au nom de quel principe, sur base de quelle règle la Région wallonne aiderait certains abattages plutôt que d'autres? Je ne veux pas faire de discrimination et envoyer ce type de signal à la population. La loi est la même pour tout le monde.»

Un avis totalement partagé par la conseillère communale cdH, Fabienne Manandise, très active dans ce dossier. Elle interpellera d'ailleurs le collège ce lundi au conseil communal.

Source Vers l'Avenir L.Fi.


Aïd-el-kébir : "rien de fait"
(22/11/2008)

Le courrier de l'échevine à la région a seulement été envoyé le 12 novembre...

CHARLEROI "Que le Collège de Charleroi ait au moins le courage de dire qu'il n'y aura rien d'organisé pour la fête du Sacrifice et qu'elle ne veut plus s'en occuper : cela sera plus juste pour la communauté musulmane qui avait espoir d'être soutenue" : Fabienne Manandise (CDH), conseillère communale, n'en revient pas de la manière dont ce dossier a été géré par la tripartie carolo.

"Cette fête va très mal se passer ! L'an dernier une commission de travail, reprenant les principaux responsables des Mosquées de Charleroi, le vétérinaire de la ville, les échevinats compétents ainsi que des conseillers, a été mise sur pied. S'il y a eu des réunions ni les représentants de la communauté, ni les conseillers n'ont été conviés" explique-t-elle.

Pire, renseignement pris auprès du cabinet du ministre Lutgen, il apparaît que "le courrier de l'échevine Latifa Gahouchi a été envoyé ce 12 novembre alors que la fête se déroule - et on le sait depuis un an - le 8 décembre. De plus la demande de subsides formulée - un incitant de 50 € par mouton mené à un abattoir agréé - va irrémédiablement se heurter à une fin de non-recevoir : c'est tout simplement contraire à la légalité" s'insurge Fabienne Manandise.

Un élément rejeté par l'échevine qui explique avoir dû tirer à une réunion de coordination - qui ne s'est tenue que le 7 novembre - le bourgmestre et l'échevin Sonnet (définitivement absent), "seuls à pouvoir faire officiellement la demande de subsides".

La conseillère humaniste qui regrette d'autant plus "ce glissement de compétences entre échevins. Maintenant, la Région semble s'accorder sur la mise à disposition de conteneurs. Mais il faut pour cela que la ville lie convention avec des abattoirs agréés... via marché public : nous sommes hors délai".

Vincent Debruyne

© La Dernière Heure 2008

jeudi 6 novembre 2008

Change we Need



Obama Président fabuleux!

jeudi 23 octobre 2008

Le blog de Loris un jeune de 20 ans pour toujours. . Un témoignage poignant.



Le blog de Loris un jeune de 20 ans pour toujours , ce blog est à présent dans mes coups de coeurs.Sur son blog ce texte terrible et bouleversant, lisez-le entièrement, un texte fort .Sa maman continue le combat avec force, courage et détermination.


La drogue ne pardonne pas lorsque tu depasses la mesure avec elle

Salut, je suis la drogue mon nom fait frémir n'est-ce pas? Je suis l'amie fidèle de l'alcool et tout comme lui, je vous déteste au plus haut point, surtout les jeunes....

Je vous hais d'être beaux, intelligents et en bonne santé; heureusement plusieurs d'entre vous sont déjà mes esclaves et sont beaucoup moins reluisants maintenant. Pour ceux qui ne le savent pas, mon travail à moi, c'est l'abrutissement du cerveau; c'est ma spécialité....

J'aime les débiles, les névrosés, les drogués, les amorphes, je n'aime pas la beauté. Je trouve les arbres laids et j'ai une sainte horreur des fleurs. La nature que votre Dieu a créée je la trouve affreuse c'est pourquoi j'expédie les gens qui me consomment dans des pays d'épouvantes ou de désolation d'où très souvent on ne revient jamais....

J'aime quand les gens s'entretuent pour m'obtenir, j'aime les gros trafiquants... les gens sans morale, la saleté, le désespoir et la mort. Je suis mondialement connue. Je traverse les continents à la vitesse de l'éclair et aucune frontière ne me résiste. Je suis partout à la fois, je me fous des lois et des principes et je laisse sur mon passage la destruction et la folie....

Merci de me consommer, de me vendre et de me cacher, votre aide m'est infiniment précieuse pour anéantir ce qui reste d'amour sur terre. Si vous aimez les films d'horreur, si vous voulez connaître l'angoisse et la peur et si vous êtes comme moi l'ennemi juré du bonheur et bien consommez moi sans réserve. Vous n'aurez aucune difficulté à me trouver je suis partout : dans les poches du petit pusher, dans les bars et les brasseries enfin partout où mes services sont requis. Vous pouvez même devenir un de mes vendeurs, je suis toujours à la recherche de sang nouveau tel un vampire....

Je n'ai qu'un seul ami au monde, c'est l'alcool. Il m'aime et me respecte. Il sait très bien que je suis encore plus dangereuse que lui, ensemble nous faisons une belle paire de salauds, nous vivons le parfait bonheur, le nombre de nos victimes augmente sans cesse, que pouvons-nous demander de plus?....

Jeunes moins jeunes voulez-vous me confier vos cerveaux? Je vous promets de les détraquer à tout jamais et je vous promets par la même occasion de faire de vous une loque humaine, dans les meilleurs délais; avec un peu de chance vous pourriez peut-être vous suicider ou terminer votre vie à l'asile ou en prison. Je vous laisse réfléchir. Il faut que je vous quitte, je suis débordée de travail, des millions de gens naïfs m'attendent avec impatience.....

PS : Excusez moi, mais je n'aurai pas de temps à perdre pour assister à votre déchéance ou à vos funérailles. Sans remord aucun!comme vous....

mardi 21 octobre 2008

« Yallah » ! Et vous pour les pauvres vous faites quoi?




Vive émotion suite au décès de Sœur Emmanuelle, dont les combats du cœur et de l’esprit manqueront à tous.

Nous garderons le souvenir ému d’une femme lumineuse qui voua sa vie aux plus démunis, aux familles et à l’enfance malheureuse en leur apportant son précieux soutien et son sourire. La grande intelligence, la jovialité naturelle, mais également le franc-parler qui la caractérisaient ont permis l’accomplissement d’innombrables actions positives, telles que la construction d’écoles, de maisons et de dispensaires en Egypte, en Turquie, en Tunisie, au Liban, au Soudan, aux Philippines, etc.

Toute sa vie durant, Sœur Emmanuelle offrit son courage et toute son énergie à ceux qui croisaient sa route. Des bidonvilles du Caire aux quartiers paupérisés de France, Sœur Emmanuelle s’est rendue par-delà le monde ; là où, frappés par la misère, ses semblables nécessitaient de l’aide.

Aujourd’hui s’est éteinte une grande dame qui oeuvra sans répit durant près d’un siècle au service d’autrui. En présentant ses plus sincères condoléances, rendons hommage à Sœur Emmanuelle et faisons écho à son mot d’encouragement qui réclame de ne jamais s’arrêter : “Yallah, En avant !”


Je garde en mémoire une rencontre entre elle et moi en 2004, une heure de face à face extraordinaire ou nous avons parlé du goût de l'autre, de nos combats, des enfants du monde.

Méditez sur cette phrase chère en son coeur: Et vous....Pour les pauvres que faites vous?

vendredi 17 octobre 2008

Réponse à vos questions, le panier de la ménagère, c'est quoi au juste? ?

Le panier de la ménagère...?

Pour calculer l’index, on se base sur un panier de produits témoins. Il n’est en effet pas possible de relever le prix de tous les produits. Aujourd’hui, il y a 507 produits témoins dans le panier de la ménagère.

Le panier de produits témoins est régulièrement mis au goût du jour. Par exemple, en 2006, les cassettes vidéos ont disparu du panier et ont été remplacés par les DVD. Et le nombre de catégories de prix relevés pour la consommation d’électricité ont été réduites pour refléter la libéralisation du marché européen de l’électricité.

Quelques disparitions marquantes

Lors de la dernière réforme de l’index, 129 produits témoins ont été rajoutés au panier qui constitue l’index et 103 produits témoins ont été retirés. Ont disparu: la margarine de régime, les cigarillos, l’anthracite (type de charbon), le marteau, les tests de grossesse, le vélomoteur, le lecteur de CD, le hot dog ou encore l’eau de Cologne.

De huit à douze catégories

Lors de la dernière réforme de l’index, le nombre de catégories de produits qui composent le «panier de la ménagère» est passé de huit à douze. Pourquoi ? Pour permettre de mieux comparer l’index belge avec l’index des autres pays européens.

La viande loin devant

La viande vient loin devant dans le budget nourriture des ménages belges. Sa pondération est de 4,63% contre 3,1% pour le pain et les céréales et 2,12% pour le groupe «lait, fromage et œufs». Parmi les viandes, c’est le jambon cuit qui arrive en tête (0,58% du budget total des ménages) devant la viande de bœuf (0,55%).

Les localités

L’enquête sur l’index se déroule dans les commerces de 65 localités. Le nombre de localités est resté le même. Mais ces localités ont changé. Les types de commerce dans lesquels les enquêteurs relèvent les prix sont différents. Jusqu’en 1991, on relevait les prix dans les commerces de détail. Mais à partir de 1991, on relevait les prix dans la grande distribution. En effet, fin des années 80, une étude du Comité belge de la distribution a constaté que les Belges préféraient de plus en plus les supermarchés aux petits commerces.

De Bruxelles à Beauraing

Dans la liste des 65 localités où les prix sont relevés pour calculer l’index, toutes n’ont pas le même poids. Les prix dans les grandes villes pèsent plus dans le calcul que les petites. Ainsi, Bruxelles-Capitale a la plus forte pondération, soit 9,6%. Beauraing, Chimay et la Roche-en-Ardenne ferment la marche avec chacune une pondération de 0,1%.

Pauvres ?

L’index colle déjà mal à la réalité du budget des ménages. Et la façon dont il est appliqué aggrave encore les choses. C’est l’index-santé qui sert à indexer les salaires et les allocations. De plus, il est lissé sur quatre mois! En décembre 2007, l’index-santé était de 107,44 (base 2004 = 100). Alors que l’indice moyen est de 108,4.

Avec les augmentations des carburants, l’index-santé s’écarte de plus en plus de l’augmentation réelle du coût de la vie. En 2000, l’essence super coûtait 0,75 euro le litre. Aujourd’hui, elle dépasse 1,2€. Les salaires sont donc en retard sur le coût de la vie. Un travailleur qui gagne 1 500 euros par mois aujourd’hui devrait en fait toucher 1560 euros. C’est 4 % de moins.

Et c’est encore plus dramatique pour les ménages qui sont à la limite du seuil de pauvreté. En 2004, on estimait qu’une personne seule était pauvre si elle avait un revenu de 9 270 € par an, soit 772, 5€ par mois. Un ménage de deux adultes et deux enfants était considéré comme pauvre s’il avait un revenu de 19 468,40 € par an, soit 1 622,37 € par mois.

Or, 15,2% de personnes en Belgique appartiennent à un ménage où le revenu disponible est en dessous de 772,5 € par mois. Ces personnes sont donc menacées de pauvreté. Parmi elles, les femmes et les plus âgés sont les plus fragiles.

L’index-santé ne suffira pas à éviter à ces personnes de basculer dans la pauvreté. Si l’on veut aujourd’hui que ces familles gardent au moins le même pouvoir d’achat, il faudrait augmenter les salaires et pas seulement les indexer.
Budget des ménages et hausse des prix

Octobre 2007 : les prix des produits agricoles et du pétrole flambent. Le mazout de chauffage, le plein de la cuve, augmentent aussi. Et cela fait augmenter en cascade les autres produits de consommation courante: le pain, les pommes de terre… Janvier 2008: le baril de pétrole coûte 100 dollars. C’est un record.

On pense que les prix pourraient encore augmenter. Le problème, c’est que les salaires ne suivent pas la même courbe.

Pourtant, en Belgique, les salaires augmentent automatiquement si le prix de la vie augmente. C’est ce qu’on appelle la liaison automatique des salaires à l’index. Mais l’index qui est appliqué ne tient pas compte de tous les produits pétroliers. Et de toute façon, l’indexation des salaires ne suffit pas à compenser l’augmentation de prix des produits les plus courants. Entre 2000 et 2007, l'indice des prix a augmenté de 18,5%. Les salaires eux, n’ont augmenté, en moyenne que de 16%.

Résultat: le pouvoir d’achat des ménages diminue. Surtout celui des ménages qui ont de petits revenus. Les plus petits revenus ont même du mal à faire face aux dépenses de la vie courante : nourriture, logement, chauffage, santé. Les ménages d’isolés, les familles monoparentales sont de plus en plus à la corde. Pour faire face aux dépenses de base, certaines familles doivent emprunter. Elles se surendettent.

Le budget des ménages en Belgique

Pour calculer l’index, le ministère de l’Economie fait une enquête sur le budget des ménages. Cette enquête observe combien les ménages dépensent, et les produits qu’ils achètent. En 2005, 3 550 ménages ont été suivis. Sur la base de cette enquête sur le budget des ménages, le ministère établit une moyenne pour les 4,4 millions de ménages qui vivent en Belgique.

Le pouvoir d’achat

Le pouvoir d’achat, c’est ce que l’on peut acheter avec ses revenus. Si les prix des biens et des services augmentent et que les revenus n’augmentent pas, vous avez une baisse de pouvoir d’achat. C’est ce qui se passe pour beaucoup d’habitants en Belgique. Celles et ceux dont les salaires n’augmentent pas ou augmentent peu. Celles et ceux qui vivent d’allocations sociales (chômage, pensions, par exemple). Pour les personnes qui ont d’autres revenus que les revenus du travail, le pouvoir d’achat peut augmenter. Par exemple, pour des personnes qui possèdent des biens immobiliers ou des placements financiers.

Hausses de prix

Mi-décembre 2007, Test Achats a sorti une étude sur la hausse des prix. Ci-dessus, nous reprenons quelques uns des 54 produits que Test Achats a étudiés. Les prix ont été relevés en août 2007. Et que voit-on ? Ce sont les produits alimentaires de base et les dépenses liées du logement qui ont le plus augmenté. Par contre, les produits de nouvelles technologies ont diminué. Plus inquiétant encore, Test Achats a calculé l’augmentation des prix des produits depuis 2000 : pommes de terre + 68%, mazout +97%, pommes + 46,5%, œufs + 32%, ...

Même si certains prix baissent, le coût de la vie est en moyenne 19% plus cher en 2007 qu’en 2000. L’indexation des salaires et des allocations sociales ne suffit pas à rattraper l’augmentation. Selon Test Achats, un ménage qui a 2500 euros de salaire par mois, perd 19 euros de pouvoir d’achat par mois.

Depuis octobre 2007, les prix des produits agricoles et du pétrole ont flambé. Cela provoque une nouvelle hausse des prix de l’alimentation et de l’énergie. En novembre 2007, le prix des carburants a augmenté de 23% par rapport à janvier 2007. Et le prix du mazout de 55%. On ne prévoit pas de baisses spectaculaires pour cette année, au contraire.
Source; L essentiel


Un sujet à la Une depuis des mois,nous changeons nos habitudes de consommations mais pour les plus démunis à peine un peu plus de 860 euros par mois qu'est ce qui change au quotidien? Quand le panier est vide, c'est la faim,la déprime, la débrouille le manque de soins de santé, des carences en tout genre.

Il est tout de même incroyable que le coût de la facture énergétique ne soit pas prise en compte , alors que.....Elle est au quotidien, essentielle dans le coût de la vie , le panier de la ménagère est ainsi fait, mais que diable nos factures énergétiques sont une grosse partie de notre budget!

Accepterons nous encore longtemps cette misère galopante jour aprés jour dans notre pays sans de véritables mesures pour aider au bien être de nos concitoyens.

mercredi 15 octobre 2008

17 octobre Journée Mondiale du REFUS de la Misère



Pourquoi,c’est l’affaire de Tous?

Le 17 octobre 1987, à l’appel du Père J. Wresinski, 100 000 défenseurs des Droits de l’Homme se sont rassemblés sur le Parvis du Trocadéro, à Paris, pour rendre honneur aux victimes de la faim, de la violence et de l’ignorance, pour dire leur refus de la misère et appeler l’humanité à s’unir pour faire respecter les Droits de l’Homme.

Le 17 octobre 1992, Monsieur Javier Perez de Cuellar, ancien Secrétaire général de l'ONU, au nom d'un groupe de personnalités internationales rassemblées dans le Comité pour la Journée Mondiale du Refus de la Misère, lance un appel pour la reconnaissance du 17 octobre. Le 22 décembre 1992, le 17 octobre est proclamé Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté par l'Assemblée générale des Nations Unies.

Plus que jamais, il faut agir pour éliminer réellement la misère. Il y a urgence…

• En Belgique, une personne sur sept vit avec moins de 860 euros par mois. Qui peut s’en sortir avec cela ? Un vrai tour de force…

• Disposer d’eau, d’électricité et d’un logement convenable, c’est essentiel. Avoir accès aux soins de santé de qualité, c’est vital. Avoir un emploi et évoluer dans un environnement de travail épanouissant, c’est capital. Etre pauvre ne veut donc pas dire avoir peu ou pas d’argent. Comment trouver un logement agréable et vivable ?

Comment faire pour que son enfant suive une bonne formation ? Que faire contre la discrimination basée sur l’apparence extérieure, si on dispose de trop peu de moyens pour acheter de nouveaux vêtements, pour se faire soigner les dents ? Quels petits plaisirs peut-on encore s’accorder, quelle vie culturelle peut-on se permettre d’avoir ?

• La situation s’est aggravée ces dernières années. Le fossé entre riches et pauvres ne cesse de s’accroître.

• Aujourd’hui, 110.000 personnes font appel à la banque de denrées alimentaires. Soit une augmentation de 50% en 10 ans. La Belgique compte 17.000 sans-abri. Les personnes qui perçoivent un revenu de remplacement ne sont pas les seules à vivre sous le seuil de pauvreté. Suite à l’augmentation des contrats de travail précaires, 5% des personnes qui travaillent, vivent sous le seuil de pauvreté.

• C’est pourquoi nous plaidons pour que de toute urgence, les revenus de remplacement soient augmentés de telle façon qu’ils deviennent supérieurs au seuil de pauvreté. C’est pourquoi nous plaidons pour que les revenus les plus bas soient augmentés.

A l’occasion de la Journée Mondiale du Refus de la Misère, et pour la seconde année consécutive, le Réseau Flamand des associations où les pauvres prennent la parole, le Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté, le Forum Bruxellois de Lutte contre la Pauvreté et la Plate-forme Bruxelloises de la Pauvreté, dans le cadre du Réseau Belge de Lutte contre la Pauvreté se sont rassemblés pour construire un événement phare. Les personnes en situation de pauvreté sont impliquées activement dans la mise en place de l’événement. Toutes les organisations et personnes qui souhaitent s’associer à notre combat sont les bienvenues.

mardi 14 octobre 2008

Lucien Cariat, ex-échevin PS de Charleroi et président de l'ICDI inculpé, a repris possession, en toute légalité, des deux millions d'euros ...



A à la suite d'un incroyable cafouillage dans la tenue de l'échéancier, Lucien Cariat, ex-échevin PS de Charleroi et président de l'ICDI inculpé, a repris possession, en toute légalité, des deux millions d'euros qui lui avaient été saisis, selon plusieurs journaux francophones.

En 2006, la juge Baeckeland avait saisi ces 2 millions d'euros au siège de l'ICDI et dans un coffre d'une agence Fortis de Marcinelle. Lucien Cariat a toujours dit que ces fonds lui appartenaient bien que l'importance de ce patrimoine ne manquait pas de laisser planer des doutes sur son origine. A l'époque, la défense s'était opposée aux mesures de saisie directe et par équivalence ordonnées par le juge. Elle avait introduit une requête en levée de saisie devant la chambre des mises en accusation. Celle-ci n'a pas statué dans les délais et a donc laissé à Cariat le droit de récupérer ses fonds. Au jour où la saisie est devenue libératoire, il a exigé le remboursement des sommes bloquées.

On croit rêver , cette triste réalité est encore une bien triste histoire vraie , pauvre Charleroi!

vendredi 3 octobre 2008

L'Echevin Dallons lance enfin la procédure pour l'engagement d'éducateurs pour le centre d'hébergement de nuit



A deux mois du lancement du plan hivernal,L'Echevin Dallons lance enfin la procédure pour l'engagement d'éducateurs pour le centre d'hébergement de nuit, qui ouvrira ses portes cet hiver rue Dourlet!

Si, il met autant de temps à répondre à ce courrier comme à l'ensemble de ces dossiers, plus de six semaines! Nous pouvons être certains qu'il manquera d'éducateurs pour l'ouverture du plan grand froid à Charleroi!

Offre d'emploi

Recherche éducateur A1 ( ou A2 avec expérience probante)
Pour abri de nuit (pour personnes sans abri)
Contrat à durée déterminée (novembre au 15 avril)
travail de nuit

Contrat A.P.E.(obtenir passeport APE auprès du Forem)

Envoyer lettre de motivation et CV en précisant pour l'abri de nuit supplétif
à Monsieur le Président B. Dallons

CPAS de Charleroi
13 Boulevard Joseph II
6000 Charleroi

Ci desous un article paru dans le Soir du 2 octobre.Isabelle Saussez

Charleroi : Les délais pour un marché public varient La stricte interprétation des statistiques pointe la lenteur de Bernard Dallons.

Les partenaires nuancent.
En collège, mardi, l’échevin de la santé et président du CPAS Bernard Dallons (PS) a donc échappé au feu des questions de ses collègues sur les conditions d’acquisition de son Audi A6. Il a, par contre, dû affronter leurs sarcasmes après la divulgation des statistiques sur les délais de validation des bons de commande, échevinat par échevinat, pour l’année 2007.

Bernard Dallons s’y classe bon dernier, avec une moyenne de 70 jours pour apposer son visa politique sur un bon de commande, contre moins de dix jours pour les autres échevins (voir infographie ci-contre). Du côté du groupe socialiste, comme du maïeur CDH, on nuance : « ce sont des statistiques. Il ne faut en tirer aucune conclusion politique », estime Jean-Jacques Viseur.

Le système électronique de bons de commande, adopté par la Ville de Charleroi, a montré ses limites en imposant parfois des délais déraisonnables. Après l’encodage, les dossiers sont validés par la direction du département, puis par l’échevin ou un membre de son cabinet (le visa politique) avant une ultime ratification par le service « contrôle avant engagement » des Finances. « Les délais peuvent être améliorés, commente le maïeur. Nous allons tout mettre en œuvre pour gagner quelques jours à chaque étape du processus. »

Dans le cas de Bernard Dallons, la réduction des délais peut s’envisager en semaines, si on s’en tient à la stricte interprétation des chiffres. En 2007, la validation d’un bon de commande émis par son échevinat prenait 99 jours, contre 30 à 53 jours pour les autres échevins. Et c’est à l’étape politique du processus que le bât a blessé. « Je suis interpellé par ces 70 jours de délai pour le visa politique. Je passe tous les matins à l’échevinat pour signer les bons, se défend l’intéressé. Je n’ai siégé qu’en juillet, les retards datent peut-être du premier semestre ou de mon installation, quand j’ai dû constituer mon cabinet. Il suffit qu’une poignée des 79 bons ait été bloquée pour gonfler les chiffres. »

La succession des échevins et les transferts de compétences l’accompagnant en 2007 ont sans aucun doute biaisé les chiffres. Les élus attendent donc des statistiques « reflétant plus justement la réalité » avant de tirer les conclusions qui s’imposent.

Charleroi, Ville poubelle ?




« Charleroi, ville poubelle » « Ou tu ramasses ou on te ramasse »
29 septembre 2008 - Question d’actualité de Fabienne Janot-Manandise, Conseillère communale à Philippe Sonnet, Echevin de la propreté.

Monsieur l’Echevin,

Il n’y a pas une semaine, pas un jour sans qu’on ne parle de la propreté à Charleroi, de la saleté de nos rues plutôt devrais-je dire.
Charleroi, ville poubelle ?

Vos services ont connu une multitude de problèmes que ce soit au point de vue du charroi ou du manque de personnel, toujours est-il qu’il ne fait pas bon se promener dans Charleroi.

Aujourd’hui les mauvaises langues disent que vous avez au moins réussi quelque chose, c’est de mettre tous les carolos sur un pied d’égalité : il fait sale partout !

Il me semble évident que nous pourrions acheter tout le matériel en suffisance que cela ne suffirait pas à rendre la ville de Charleroi plus propre tant les mauvaises habitudes sont ancrées. Je sais que vous menez diverses actions quant à la prévention mais il nous faut constater que cela reste insuffisant. Le manque de citoyenneté récurant met notre ville à mal !
Il nous faut reconnaître que « propy » sort d’une longue léthargie.

Puis-je vous suggérer, Monsieur l’Echevin, de lancer conjointement une campagne de sensibilisation claire, innovante et plus responsabilisante ?

Sous le slogan par exemple « Ou tu ramasses ou on te ramasse », sanctionnons plus visiblement les personnes qui jettent leurs crasses en rue et ne respectent pas leur environnement.
Nous savons qu’une équipe de sanctionnateurs existe, elle est totalement invisible pour les citoyens.

Pourriez-vous me dire combien de sanctionnateurs sont liés uniquement à la propreté ?
Quelles sont les données des sanctions effectuées et le montant récolté depuis le 1er janvier 2008 ?
Quel est le contrôle de vos services et ont-ils un calendrier des rues ou des quartiers à arpenter ?


Réponse de l'Echevin:

Il y à 3 constatateurs propreté pour la ville de Charleroi, nous réfléchissons à créer une véritable équipe ce sera une discussion en collège.

Nous avons des problèmes quant aux sanctions, de nombreuses personnes étant insolvables, il nous faudrait réfléchir à des peines de citoyenneté par exemple 4 heures de ramassage en rue pour les personnes en infractions et insolvables.

Un peu léger quand même la réponse de l'échevin de la propreté de Charleroi!

jeudi 2 octobre 2008

L'Echevin Dallons de l'action sociale et président du CPAS de Charleroi à la ramasse!



Je ne peux que vous inciter à voir cette vidéo du dernier conseil communal de ce lundi "Télé Sambre", pour vous rendre compte avec images à l'appui de la ramasse de Dallons.

30/09/08 : Charleroi : conseil communal
Plusieurs points récurrents ont été abordés lundi soir, comme les problèmes de charroi du service propreté, l'état des infrastructures sportives, l'avenir commercial de la métropole, la mobilité ou encore le parking. Toutefois au lendemain du conseil, tout le monde ne parle que de la prestation de Bernard Dallons, qui s'est révélé incapable de s'expliquer sur les dépenses consenties par le CPAS pour sa voiture de fonction et son écharpe scabinale.


http://telesambre.rtc.be/

mercredi 1 octobre 2008

Une clé pour tous!



Bonjour à toutes et à tous,

Le dimanche 5 Octobre, le Ministère de la Crise du Logement donne le coup d'envoi de sa campagne "une clé pour tous."

Viennent à Bruxelles des militants de toute la Belgique afin de manifester leur mécontentement et parler de la scandaleuse absence d'une politique du logement digne de ce nom dans l'ensemble de nos communautés.

Il s'agit non seulement d'une journée festive, avec un défilé, de la musique, des loisirs, de la nourriture et des boissons, mais également d'une journée ponctuée d'une action forte et de témoignages éloquents !

Mobilisez-vous et participez !

samedi 27 septembre 2008

Charleroi: Le président du CPAS en audi A6 sur le compte du CPAS!



Charleroi: Le président du CPAS en audi A6

INFO VERS L'AVENIR-LE JOUR-LE COURRIER | Le président du CPAS de Charleroi a dribblé les consignes d'austérité. Il vient de faire financer l'achat d'une nouvelle Audi A6 de fonction.

Charleroi ne va pas bien. Le personnel se plaint de ruptures incessantes d'approvisionnement de matériel et de pièces; le charroi de la propreté urbaine ne roule qu'à 25%; les marchés publics ne suivent pas; le parc des bâtiments communaux se détériore... Le tout sur fond d'augmentation de la pauvreté. Au 31juillet, le CPAS enregistrait l'inscription de 3790 bénéficiaires du revenu d'intégration sur ses listes.

Dans ce contexte, il y a des décisions politiques qui fâchent: comme celle de privilégier le remplacement de sa voiture quand il y a tant d'autres dépenses à faire. L'achat de la nouvelle Audi A6 de Bernard Dallons (PS), le président du... CPAS, ne manque dès lors pas d'agiter le Landerneau politique communal.

Point de départ de l'histoire: le bourgmestre Jean-Jacques Viseur a interdit d'affecter des fonds à l'acquisition de véhicules somptuaires

C'était donc clair pour l'ensemble des membres du collège: les voitures dont ils avaient hérité de l'ancienne mandature ne pouvaient être troquées contre des berlines énergivores et luxueuses.
Pourtant, un an après son arrivée, le président du CPAS a décidé de se débarrasser de sa Toyota pour une Audi A6 (prix moyen: 40000 €). Ce n'est pas aux finances communales qu'il a décidé de faire appel pour en payer le coût, mais aux fonds du... CPAS.

En agissant de la sorte, il a contourné les directives du bourgmestre. Car si le CPAS tient une comptabilité indépendante de celle de la Ville, il dépend directement d'elle.

Une écharpe de cérémonie

Nous avons tenté de contacter le président Dallons pour avoir sa version des faits. En vain. Dommage, car cette histoire de berline a connu un précédent... croustillant.

Pour l'achat d'une écharpe comme s'en parent les responsables politiques lors des cérémonies officielles, Bernard Dallons a déjà recouru à la caisse du CPAS. Là encore, le bourgmestre Viseur s'était voulu très clair: cette parure de 300 € devait être achetée aux seuls frais de ceux et celles qui souhaitaient la porter, leur revenu de 3500 € net leur en laissant largement les moyens.

Aucune exception parmi les échevins. Mais Bernard Dallons a préféré, lui, recourir à la caisse du CPAS.

Des conseillers communaux ont prévu de lui demander des comptes, notamment la CDH Fabienne Manandise. Ils entendent le faire lors d'un prochain conseil communal.

Didier ALBIN


Franchement, ils ont beau changer les hommes, les pratiques elles ne changent pas au PS! Nouveau scandale, un de plus à Charleroi! SORTONS DU ROUGE!

mercredi 24 septembre 2008

Marre de cette Ville SALE



Pas une semaine sans parler de Charleroi, ville propre, des problèmes liés au service propreté de la ville, manque de véhicules, véhicules en panne, etc...

Pas un coin n'est épargnée par cette crasse qui envahit nos rues, la faute à QUI?

Avant tout, au comportement des gens, qui jettent tout n'importe ou et en toute impunité.

Ce week-end je suis allée promener au bord du Ravel à Jumet tu parles d' une ballade, les abords sont jonchés de poubelles et détritus en tout genre, la promenade à tourné court.

Il y à un moment où il faudra stopper ce fléau, éduquer les habitants à plus de citoyenneté et de respect, non seulement de la ville mais aussi le respect de l'autre. Que chacun balaie devant s porte déjà, cela permettrait de nous donner une ville plus propre et plus accueillante, par ce simple geste nous pourrions déjà rendre une image plus positive et un environnement plus agréable aux carolos.

Des tas d'initiatives, d 'habitants, de journaux tentent de donner une belle image de Charleroi, Fière d'être carolo, marre des gens qui critiquent Charleroi sans la connaître...


Il ne suffit pas de signer une charte, la propreté de notre ville c'est avant tout la responsabilité de chaque habitant, alors soyons fier d'être carolos, mais de grâce, passons à l'action et arrêtons de jeter tout et n'importe quoi dans nos rues.

Je suis pour un politique plus responsabilisante, il y à un moment ou il faut sanctionner " Ou tu ramasses ou on te ramasse!"


C était mon coup de gueule du jour.

samedi 20 septembre 2008

La fin de la détention des enfants en centres fermés : une exigence du cdH réalisée‏



Le cdH ne peut cacher sa satisfaction et est particulièrement heureux qu’un de ses principaux combats semble connaître aujourd’hui une issue favorable. En effet, le cdH a toujours estimé que la détention d’enfants en centre fermé était insoutenable. Il avait imposé cette exigence dans l’accord de gouvernement. Il salue donc l’annonce de la Ministre Turtelboom d’instaurer des logements individuels pour les familles illégales en attente d’une éventuelle expulsion.

Cette décision, dont nous n’avons à ce stade été informés uniquement par la presse, respecte l’engagement du Gouvernement de trouver des alternatives à la détention de familles avec enfants en centre fermé et permet à la Belgique de se conformer aux obligations internationales qui découlent de la convention des droits de l’enfant.

Le cdH espère que cette annonce de décision importante est le signal d’une nouvelle volonté de tous les partenaires du Gouvernement de respecter dans sa globalité l’accord de gouvernement concernant le droit d’asile et notamment l’adoption de critères clairs et objectifs de régularisation.

mercredi 10 septembre 2008

Le blog de retour ce lundi :)

lundi 23 juin 2008

Garode retrouvé ouf!



Le cauchemar est terminé, le petit à été retrouvé à Jumet, je félicite tous les services qui ont permis de retrouver ce petit rapidement :-)

L'hôpital également, qui de suite à installé de nouvelles caméras au service pédiatrique afin que cela ne s reproduise plus jamais.

C'est grace au caméras de l'hôpital que le petit a été retrouvé OUF /_°

samedi 21 juin 2008

Un nourrisson de 7 mois a disparu depuis vendredi en début d'après-midi de l'Hôpital Notre-Dame Reine Fabiola à Charleroi




Le bébé se trouvait dans ce Maxi-Cosi bleu foncé au moment de sa disparition.

je connais la maman de ce petit,svp diffusez largement l'avis de recherche, cette aprés midi nous avons rencontré la maman, c'est une horreur de vivre un tel drame!

Un nourrisson de 10 mois a disparu depuis vendredi en début d'après-midi de l'Hôpital Notre-Dame Reine Fabiola à Charleroi où il était hospitalisé, annoncent les radios samedi.

Le petit Garode Ratazi, 7 mois, de forte corpulence, mesure 60 centimètres. Il a les yeux et les cheveux bruns et portait, au moment de sa disparition, un body brun avec des manches oranges.

Des battues et des recherches ont été organisées aux alentours et dans les parcs jouxtant l'hôpital dès vendredi après-midi. La cellule disparition de la police fédérale est en charge de l'enquête. Le parquet de Charleroi privilégie la piste du rapt familial dans le cadre de la disparition d'un bébé, disparu vendredi d'une chambre de l'hôpital Notre Dame et Reine Fabiola.

Toute information et témoignage, même anonyme, concernant cette disparition peuvent être communiqués au numéro gratuit 110, précise Child Focus, qui a également diffusé l'avis de disparition et la photo de Garode sur son site internet www.childfocus.be (belga)

La commissaire privée de liberté à Charleroi


La commissaire en chef et chef de zone de Charleroi est privée de liberté depuis vendredi après-midi pour une durée maximale de 24 heures . Son domicile de Sorle Saint-Géry a été perquisitionné dans le cadre d’un dossier ouvert chez la juge d’instruction France Baeckeland.

Comme toujours à Charleroi, il serait question de faux et usage de faux, faux en écriture et détournements dans le cadre du dossier de la rénovation du commissariat de Marcinelle, qui suite à un incendie il y a 3 ans a été reconstruit par l’entreprise Vandezande, dont le patron est un proche de Jean Claude Van Cauwenberghe.

Ce commissariat n’est toujours pas occupé car inachevé.
La policière devrait être entendue par le juge d’instruction Baeckeland ce samedi.

Le dossier qui a valu à la chef de zone de la police d'être longuement entendue vendredi concerne la reconstruction du commissariat de police de Marcinelle. Ce commissariat avait été la cible d'un incendie volontaire, dont les auteurs, identifiés, avaient été jugés en correctionnelle.

La compagnie d'assurance étant intervenue, il semble que la majorité communale d'alors n'ait pas procédé aux appels d'offres, et qu'elle ait désigné directement l'entrepreneur, à savoir la société Vandezande, de Gilly.

Pour le bourgmestre, aucune décision ne doit être prise sur le plan administratif, aussi longtemps qu'aucune décision n'est intervenue sur le plan judiciaire: "Nous verrons comment réagir aussitôt qu'une décision sera intervenue sur ce plan là", a-t-il indiqué. Le bourgmestre Viseur a encore expliqué que le dossier juridique relatif à la commissaire en chef Biot avait été examiné, et que le pouvoir communal était prêt à réagir, dès qu'une évolution sera intervenue sur le plan judiciaire, quelle qu'elle soit. Mme Biot doit être entendue dans la journée de samedi par la juge d'instruction Baekeland.

vendredi 20 juin 2008

Désignation au CPAS : quel enjeu ?


Voici un article intérresant que je vous laisse découvrir .

Source :Vincent Debruyne La dernière Heure

Mis en ligne le 20/06/2008

Le secrétaire de CPAS peut accéder au même grade légal à la commune.
L'affaire avait fait grand bruit et menacé un temps la tripartite. Le 21 mai dernier, la réunion visant à la désignation du nouveau secrétaire de CPAS avait tourné au psychodrame : on avait vu ce soir-là tous les états-majors sollicités, jusqu'au ministre Paul Magnette (PS) en personne. Le bourgmestre, Jean-Jacques Viseur (CDH), en était même arrivé à remettre son écharpe dans la balance pour convaincre ses troupes !

Une tourmente inédite pour départager les premiers candidats à un examen indépendant et qui se tiennent dans un mouchoir de poche. D'autant que les candidats sont tous deux étiquetés de la même couleur socialiste et que ce parti avait, semble-t-il, souligné sa préférence auprès de ses partenaires.

L'enjeu politique semblait donc disproportionné, même à considérer l'importance de la fonction. Sauf que le dessous des cartes est peut-être plus compliqué et, de fait, plus relevé politiquement qu'on ne croit.

A la lumière d'une réponse du ministre Courard à une question parlementaire le 27 mai dernier, cette désignation pourrait soulever une autre stratégie.

A Esneux, la tutelle a en effet annulé la procédure de recrutement du secrétaire communal car la demande du secrétaire de CPAS n'avait pas été prise en considération. Pour le ministre "l'application de la mobilité volontaire des grades légaux implique pour toute administration communale désireuse de recruter son secrétaire communal de s'assurer que le secrétaire du CPAS ne soit pas candidat à la mobilité, cela préalablement à la mise en place de la procédure de recrutement".

Le cas de figure intéresse Charleroi. Car la ville s'apprête à recruter un secrétaire communal et, à la lecture de ceci, dès lors que le secrétaire de CPAS est désigné, le titulaire de cette première fonction se trouve de facto prioritaire au poste de secrétaire communal. D'où toute l'importance de bien choisir le candidat au CPAS, voire de placer un des siens, puisque ce dernier pourrait, sans recrutement cette fois, accéder au fauteuil communal plus large encore... A qui le calcul a-t-il échappé, des socialistes ou du mayeur ?

jeudi 19 juin 2008

Coup de gueule du jour! Ral le bol de ces pratiques! Les fameux jetons de présences des conseillers communaux une saga sans fin!


Suite à mes plaintes justifiées au comité d'éthique et de déontologie de Charleroi concernant ces dérapages, le scandale continue.

Cette semaine encore , commissions diverses pour les points qui seront votés au conseil communal du 23 JUIN!

Au début de la première commission les cahiers de présence des trois commissions sont sur la table, certains conseillers signent les trois et n'assistent pas à l'ensemble des commissions, pour chaque signature le conseiller percevra de la commune la somme de 48.17 Euros net!

Ce soir 18h 15? commission propreté, aucun point à l'ordre du jour, le président de la commission doit veiller dans ce cas à inviter un des services à se présenter, ce soir nada! rien de rien!

Ecolo se fâche cela fait des mois qu'il demande la visite de l'expert pour un bilan carbone! Rien de mois en mois on remet cette visite!

Je m'en prends au président de la commission PS!

J'ai écris au comité d'éthique et de déontologie concernant ce genre de dérapage, n'oublions pas qu'il s'agit d'argent public!

Le comité recommande au président en cas de non point en commission et de non présentation d'un service ,l'envoi par mail aux conseillers de la dite commission 24 heures avant leur signalant l'annulation DE LA COMMISSION!

Cela ne le tracasse pas il continue à envoyer ses sms ( jetons des présidents de commission 250 EUROS BRUT)! grrrrrr payé bien trop cher pour négliger de la sorte la bonne représentation publique par de tels agissements inacceptables!

Cela me met en rage, je signale aux conseillers présent que je refuse d'être payée à rien faire et annule ma signature sur le cahier! et quitte la scéance illico presto!

Je suis bien la seule à avoir annulé ma signature!

Combien de temps encore la ville tolérera ce genre de comportement!!!!!

Trop c'est trop! Comme me disait un Ministre il y a quelques jours: Tu crées la polémique , cela ne fait pas plaisir à tous le monde!

Visite mayorale chez Sylvianne



CHARLEROI Article Vers l'Avenir du 19 juin

Deux fois par mois, le Bourgmestre descend sur le terrain. Le temps de partager un petit déjeuner chez l’habitant et d’aborder diverses problématiques sociétales. Hier, il a rencontré Sylvianne à Dampremy.

Hier matin, 8h30. C’est l’heure du petit déjeuner. Sylvianne, son conjoint et ses deux enfants de 15 et 5 ans s’apprêtent à partager leur table avec un invité quelque peu particulier. Le bourgmestre Jean-Jacques Viseur est venu en personne.

C’est ce que la conseillère communale CDH Fabienne Manandise appelle la « politique participative ». C’est elle qui est à l’origine de l’initiative. Deux fois par mois, elle invite le mayeur à « descendre » sur le terrain pour rencontrer les citoyens qui le souhaitent. Pour cela, il suffit de la contacter.

Après Jumet et Gilly, c’est dans un quartier « chaud » de Dampremy que les discussions se sont tenues. Pour la conseillère, ce type d’actions est primordial. « Il est important que le bourgmestre sorte des chiffres et des bilans pour qu’il puisse se rendre compte de la réalité du terrain ».

Et généralement ces rencontres lèvent le voile sur des situations dramatiques. Comme le calvaire que subissent actuellement Sylvianne et sa famille. Logés dans des conditions très précaires, ils exploitent une petite maison composée de deux pièces au rez-de-chaussée et à l’étage. Humidité, fissures dans les murs, vétusté du bâtiment, jardin transformé en véritable dépotoir sont autant de désagréments que présente l’habitation.

Le tout, pour un loyer excessif de 450 euros par mois. « C’est abusé ! », lance le bourgmestre après un rapide tour des lieux. Mais le pire est à venir. Quand Sylvianne commence à raconter les agissement de ses propriétaires. Là, le silence s’impose. Les visages se décomposent. Elle explique, la voix pleine de terreur comment ces derniers font pression sur elle et ses enfants. « Ils nous menacent d’expulsion. Et de mort, si on porte plainte ! Ils entrent sans cesse par effraction.

Ils sont même venus coller une affiche « A louer » sur ma fenêtre ». Pendant son discours, Jean-Jacques Viseur écoute avec attention. Il s’empare du bail, le parcoure et rappelle à la locataire ses droits. « Rassurez-vous, c’est un bail 3–6 –9. Il ne peut en aucun cas vous mettre à la porte. Alors vous allez enlever cette affiche et faire intervenir votre avocat », poursuit le bourgmestre, d’un air rassurant. A ses côtés, une employée de Solidarités Nouvelles tente également de chasser les peurs de Sylvianne. Elle s’occupe de son dossier depuis le début. Une aide que salue le bourgmestre qui compte d’ailleurs débloquer un budget pour cette ASBL. Objectif : permettre à l’association de se substituer aux locataires afin de poursuivre en justice les propriétaires véreux ou d’assigner la Ville pour suspendre son arrêté de fermeture.

A la fin de la rencontre, Sylvianne a retrouvé quelque peu son sourire. « C’est important de voir les politiques ailleurs qu’à la télé. C’était une belle expérience. Je me suis sentie vraiment écoutée », confie Sylvianne. L.Fi.

mercredi 18 juin 2008

Honte à ces propriétaires VEREUX qui exploitent les plus faibles!

Voyez un peu les photos maison avec jardin..Mon oeil un jardin qui sert au propriétaire de décharge puplique.? Et ce petit gamin qui me montre cela, je suis scandalisé tout comme le bourgmestre de cette exploitation inhumaine!

Maison 2 chambres Humides, fuite dans le toit, salon , cuisine l'eau passe par le plafond quand il pleut et douche/WC. Sans oublier ce fabuleux jardin!


L'invité de Sylviane ce matin au petit déjeuner le Bourgmestre Jean-Jacques viseur!

Cette mère de famille paye un loyer de 450 euros pour une petite maison à Dampremy, je ne vous dit pas l'état de la maison.

Son propriétaire viole son domicile régulièrement et la menace sans arrêt la cause? Il désire louer son taudis plus cher et pour cela il n'hésite pas à utiliser tous les moyens illégaux pour qu'elle quitte cette maison!

Menaces, insultes,destruction à l'intérieur de la maison, une pression constante, cette maman courage vit dans la peur de représailles plus grande encore de jour en jour.


La semaine dernière, les propriétaires ont demandé au petit de 5 ans, si il était content de sa maison?

Le petit a répondu non! La propriétaire réponds au gamin?
-Bien fait pour ta gueule!

A la jeune fille de 14 ans, un jour ou la maman était absente, le propriétaire lui a fait signer un papier, avant la signature évidement des menaces!
"tu vas savoir ce que c'est le coma!"

Tout cela pour vous démontrer ce harcélement que subit cette famille.Cette maman est à bout.Elle a enfin oser déposer plainte et maintenant un avocat prodéo l'assistera dans ses démarches et ses droits.

Il y à 3 jours les propriétaires ont apposé une affiche à louer, de quel droit? Elle a un bail de trois ans!

Ce propriétaire loue 13 maisons a Charleroi! grrrr . Il a fait de la misère son fonds de commerce!

Ce matin Cette maman a pu raconter son calvaire à Jean-Jacques Viseur. Le bourgmestre de fait prendra des mesures pour Charleroi, la problèmatique du logement y est énorme.
Affaire à suivre, nous n'en resterons pas là!

J'ai la rage au coeur!

vendredi 13 juin 2008

Quand la gratuité est payante à Charleroi?



Un accord passé entre l'UCAC (Union des commerçants et artisans de Charleroi) et la RCA (Régie communale autonome), quatre zones test ont été désignées afin d'observer si les stationnements payants incitent la clientèle à bouder le centre-ville durant le temps de midi.

Les agents de la RCA allégeront donc leurs contrôles sur la place de la Digue, la place du Manège, le boulevard Audent et le boulevard Jacques Bertrand et ce, de 12 h à 14 h ainsi qu'après 17 h durant la période test qui prendra fin le 30 septembre prochain.

L'échevin de l'Urbanisme, Eric Massin, préfère jouer sur les mots. "Les automobilistes qui viennent se stationner sur les zones désignées durant le temps de midi sont obligés de payer le parking, mais ils ne seront pas pénalisés s'ils ne le font pas. Les parkings ne sont donc pas gratuits."

En terme de communication tout cela n'est vraiment pas trés clair!

Gratuité avec obligation de payer! Tu parles de gratuité, rien n'est simple à Charleroi.

Encore un bel exemple de langue de bois!

jeudi 5 juin 2008

Le camp thérapeutique 2008



Parce qu'un enfant à l'hôpital, ce n'est jamais juste et quand il s'agit de maladie comme le cancer, la révolte est encore plus grande.

Parce qu'il faut organiser le mieux possible le quotidien de ces enfants, ainsi que le soutien moral et financier de leurs familles.

Parce que ces enfants, plus que jamais, ont besoin de cadeaux et d'amis sincères, mais aussi de voyages et de rêves.

Parce que le rêve c'est l'espoir, et qu'au royaume de l'espoir, il n'y a pas d'hiver...

Pour la 15ème année consécutive, l 'association jour après jour ( aide aux enfants atteints d'un cancer) que je préside organise son camp thérapeutique du 12 au 22 juillet 2008.

Un fameux défi pour notre association, cette année nous emmenons 17 enfants de 8 à 16ans à tous les stades de la maladie. Offrir une pause entre les traitements à ces petits est essentiel pour qu'ils continuent le combat. Leur apporter du soleil plein le coeur et des étoiles pleins les yeux voici l'objectif premier de ces voyages.

Cette année " La croisière s'amuse" mais chuuut c'est un secret. Je prépare des tas de surprises pour les enfants, cela demande une énergie incroyable, mais je sais que ces moments magiques que nous allons vivre ensemble nous laisserons des traces indélébiles, de l'amour partagé à l'état brut, des rires et du rêve pendant 10 jours.

Dans quelques jours , je lèverais un pan du voile de ce fabuleux voyage.

Bon Week-end à tous, bisous

mercredi 28 mai 2008

L'invité de Laurence et Alain ce matin au petit déjeuner ... Le Bourgmestre :-)


Karine et le bourgmestre trés attentif, Annie argumente :-)


Annie, Alain et Laurence :-)

Ce matin huit heures trente, le bourgmestre arrive à Gilly pour participer à ce que j'appelle la politique participative " si on déjeunait ensemble", en effet ce projet que j'ai initié rencontre un réel succès tant pour les citoyens qui accueillent le bourgmestre à la maison que pour Jean-Jacques lui même qui est mis en situation sur le terrain.

Les discussions vont bon train, riches débats sur les maisons de quartiers, pas assez soutenues par la ville. Le surendettement est abordé également ainsi que le coût des loyers et les propriétaires véreux. Nos hôtes retracent leurs parcours de vie. Des moments trés émouvants, d'une grande sincérité, d'une richesse incroyable.
Des moments d'humour aussi, de belles rencontres.

Tiens!... J'ai appris quelque chose aujourd'hui, c'est Jean-Jacques Viseur qui est à l'initiative de la loi pour lutter contre le surendettement , entre parenthèse la loi dite Di-Rupo ? ...Bizarre bizarre

Un moment privilégié ces débats,un Viseur en toute simplicité, cela fait du bien, ouf.

Le bourgmestre m'avoue qu'il apprends énormément de choses lors de ces rencontres, et c'est tant mieux, c'était aussi un de mes objectifs. Sortir des chiffres et mettre des noms sur les réalités vécues par les personnes.

Merci à nos hôtes pour ce superbe accueil et ce magnifique partage.

mardi 27 mai 2008

Jetons de présence suite mais pas fin! Dur dur de changer les vieilles pratiques!!!


Le 26 février je portais plainte auprès du comité d'éthique et de déontologie quant au non respect de certains conseillers communaux qui perçoivent des jetons de présence pour des commissions auxquelles ils ne participent pas!

Le 29 février réponse du comité avec copie du courrier au bourgmestre!

Recommandations du dit comité:

Si les faits dénoncés s'avèrent fondés et que l'autodiscipline des mandataires se trouve pris en défaut, le bureau recommande une adaptation en conséquence des dispositions du règlement intérieur relatif aux jetons de présence.

Ainsi devraient être prévues de manière précise les conditions d'octroi de jetons et le système de contrôle à mettre en place.

Cette réglementation relève de la seule compétence du Conseil Communal.

Les citoyens ne comprendraient pas que les deniers publics soient utilisés en rémunération de tâches non accomplies.

Courrier resté lettre morte!

Ce 21 mai, de nouveau j'écris au comité de déontologie pour signifier que la situation a empiré! En effet le jour des commissions les 3 cahiers de présence restent sur la table!

Ce qui permet une signature de façon aisée sans aucun contrôle, la semaine dernière de nouveau des conseillers ont signé ce cahier sans même assisté à la commission!

Éthique et déontologie avez-vous dit? charité bien ordonné commence par soi- même!

Cela me fout les boules, que faire de plus de ce qui a été fait, quand le silence est de rigueur au plus haut niveau et qu'aucune suite n'est réservé à vôtre plainte.

Quoi qu'il en soit, je ne lâcherai pas, et continuerai à être intraitable avec les deniers publics!

vendredi 23 mai 2008

Fier d’être Carolo






La base même de l’opération “Fier d’être Carolo”.
Lisez cette Charte. Pesez-en bien tous les mots.
Et puis signez-la!

Plus vous serez à la signer, plus cette opération prendra du poids^
http://blogs.sudpresse.be/fierdetrecarolo/voir-et-signer-la-charte/

mercredi 21 mai 2008

Et si..On déjeunait ensemble?



Tous les 15 jours, j'organise un petit déjeuner chez l'habitant, un moment privilégié pour les citoyens et le bourgmestre.

Quoi de mieux de discuter en direct avec le Bourgmestre Jean-Jacques Viseur, de votre quotidien, de vos soucis. Vous-pouvez aborder tous les sujets qui vous interpellent.

Cela vous tente? Appelez-moi et nous organiserons ensemble ce petit déjeuner.

Je voulais réaliser ce projet, à mon grand étonnement Jean-Jacques à accepté tout de suite une fois par mois, au vu du succès maintenant 2 fois par mois et cela jusque 2012 (c'était mon exigence).

Mettre le bourgmestre dans la réalité quotidienne des Carolos, un super défi, des rencontres chaleureuses et constructives.

En un mot j'adore ces échanges et cette proximité :-) Voilà la politique que je préfère!

Prochain petit déjeuner le 28 mai à Gilly (complet)

Mi Juin: Marcinelle (complet)
Fin juin: à venir

mardi 20 mai 2008

Manandise excommuniée ou promue ?


Manandise excommuniée ou promue ?
20 mai 2008

S’il est un nom qui suffit à faire pousser des boutons sur les visages furibards de la majorité communale carolo, c’est celui de Fabienne Manandise. Jusqu’ici, l’élue cdH agaçait uniquement dans les rangs du PS.

Maintenant, c’est en interne au cdH qu’elle donne de l’urticaire. Ses dernières positions publiques, sur une majorité qui ne manifeste aucune volonté de faire évoluer le problème des SDF, ont été longuement applaudies par les sans-abri en plein conseil communal, ce qui lui a valu de se faire remonter les bretelles par le président du CPAS.

Arriver à ce point de distanciation par rapport à son groupe et à son bourgmestre, le Révérend Viseur, cela relève de la schizophrénie, dit-on au cdH. Certains pensent l’exclure, d’autres désespèrent jusqu’à souhaiter de la voir devenir échevine, pour qu’elle puisse pleinement prouver son incapacité à résoudre les problèmes qu’elle dénonce en opposante interne.

source le Pan

Réponse de la bergère au berger:

La campagne électorale serait elle déjà lancée? pour que l'on tire de la sorte !

Rassurez-vous, Jean-Jacques Viseur et mon groupe n'ont pas de soucis en interne avec moi, il est vrai que je défends mes convictions avec force et détermination et alors? N'est-ce pas cela le travail d'un conseiller communal?

Le fait de dénoncer dérange bien évidemment, faut-il parce que nous sommes dans la majorité être exclusiment des presses boutons? NON!

Rassurez-vous pour l'urticaire il existe un traitement efficace (rires)

C'est du n'importe quoi, cela me fait bien rire!

Franchement il y aurait bien plus de sujets sérieux à traiter à Charleroi que passer son temps à écrire de telles conneries!

mercredi 14 mai 2008

Ah ce cher PS Carolo...... Il ne fait pas bon s'exprimer publiquement à Charleroi ! Quand le social est défendu par d'autre! (éclats de rires)


1er mai carolo éclaté ( source LE PAN)

Jusqu’ici, les « vrais » représentants du peuple de gauche de Charleroi se plaignaient de subir un 1er mai dispersé, FGTB d’un côté, parti de l’autre, avec jonction facultative des cortèges. Cette année, c’est à une gauche tripartite qu’on a eu droit.

Le cortège emmené par Elio, Paul (Magnette) et Christian (Dupont), avec un Van Gompel et un Busquin modestement perdus dans la foule, a défilé en fanfare jusqu’à la « Maison des Huit Heures », haut lieu de l’expressionnisme ouvriériste.

L’y attendaient, attablés comme à la parade, un Van Cau en matou rayonnant et les anciens échevins dégommés Lucien Cariat, heureux d’agacer, et André Liesse, aussi peu souriant que s’il suivait ses propres funérailles. Tout le jeu a consisté, entre Van Cau et Di Rupo, à s’éviter soigneusement, l’un et l’autre se démultipliant pour dire aux intervieweurs tout le bien qu’ils pensaient de cette fête de tous les travailleurs.

Là où la chose a atteint des proportions fastueuses, c’est quand Van Cau a mis le moment à profit pour distribuer le numéro spécial de son opus Rebelle, nanti pour l’occasion d’un emballage quadri. Détail qui valait son pesant de cartes d’affiliation, l’édito du follicule regrettait les 1er mai d’antan. On cite : « Le 1er mai est ‘fêté’ à Charleroi de façon éclatée en plusieurs lieux, par quelques derniers pratiquants. Le Parti d’un côté, la FGTB de l’autre et la Mutualité socialiste chez les deux. Quant aux discours prononcés et aux messages lancés, ils permettent surtout de traduire les différences ». Parole d’orfèvre, venant d’un Van Cau qui ne cesse de faire planer la menace d’une dissidence aux prochaines régionales. Jusqu’à ce que son fils Philippe soit assuré d’une place éligible sur la liste conduite par Magnette ?

Comme si cela ne suffisait pas, le même Rebelle y va d’une page sur la réception « totalement inopportune » du prince Emmanuel-Philibert de Savoie à l’Hôtel de Ville carolo. Cela, pour ironiser sur le fait qu’elle n’a pas porté chance au prince, blackboulé des votes émis par ses compatriotes.

Avec, au passage, quelques lignes définitivement aimables pour Fabienne Manandise, l’élue cdH qualifiée de « passionaria des sans-abri », un mépris fort peu compatissant venant d’une feuille de gauche, soit dit en passant.

Mais là où la critique touche au sommet du drolatique, c’est quand Rebelle s’en prend aussi à l’échevine PS Françoise Daspremont, « pas particulièrement à l’aise ‘cinglée’ (sic) dans son écharpe scabinale ». Que Daspremont ait quelques limites, on semble s’accorder à le constater. De là à la traiter de cinglée, il y a de la marge. Erreur de vocabulaire pour « sanglée », sans doute ?…

mardi 6 mai 2008

Protection de la jeunesse,15 mineurs délinquants auraient été relâchés le vrai du faux!



15 mineurs n’ont pu faire l’objet d’une prise en charge en Communauté française lors du week-end du 26 et 27 avril !
FAUX !

S’il est vrai que les médias ont tous relayé l’information selon laquelle 15 mineurs délinquants auraient été relâchés, faute de place en centre fermé, (sur base des propos d’une subsitute), le parquet a informé qu’en définitive le problème concernait deux mineurs.

Des problèmes récurrents se posent pour la prise en charge de mineurs délinquants en centre fermé !
VRAI

La problématique des places disponibles en centre fermé n’est pas neuve. C’est pour cette raison que la Ministre Catherine Fonck rappelle que dix nouvelles places seront bientôt disponibles à l’Institut Public de Protection de la Jeunesse (IPPJ) de Wauthier-Braine. En outre, d’autres mesures sont prévues par la législation comme alternatives à l’enfermement. Citons, par exemple, l’assignation à domicile pour les mineurs et les prestations d’intérêt général.

La Communauté française, par rapport à la Communauté flamande, n’en fait pas assez !
FAUX !

Selon l’Institut National de Criminalistique et de Criminologie les taux moyens de signalement de faits qualifiés infractions ne diffèrent pas significativement d’une Communauté à l’autre1 ».

Si l’on effectue un comparatif entre le nombre de places disponibles entre la Communauté Française et la Communauté flamande, on s’aperçoit qu’il existe 245 places (ouvertes, fermées, pour garçons, pour filles) en Communauté française et 214 places (ouvertes, fermées, pour garçons, pour filles) en Communauté flamande. Il est vrai que des différences substantielles existent entre les deux Communautés. A titre d’exemple, la Flandre dispose d’un nombre de places sensiblement plus élevé pour les filles en centre fermé tandis que la Communauté française possède plus de places pour filles en régime ouvert.

On peut néanmoins noter que la Communauté française met en œuvre une action spécifique d’accompagnement post-institutionnel (API).

Comme le propose le MR, faut-il refédéraliser la gestion des centres d’accueil de mineurs ayant commis un fait qualifié d’infraction ?
NON !

Il ne faut pas confondre l’enfermement des adultes avec celle des jeunes. La réforme de la Loi de 1965 a maintenu un cap éducatif important. Ce sont donc les Communautés qui sont compétentes en cette matière.

Mais il est vrai que les Communautés doivent appliquer des mesures décidées par le niveau fédéral, et les financer !

A ce titre, le cdH est partisan d’octroyer un « droit de tirage » des Communautés vers le Fédéral afin de financer, au prorata du nombre et du type de mesures (de justice), ce qui est décidé et ordonné par le Fédéral.


Les magistrats de la jeunesse demandent plus de moyens de répression et plus d’enfermement !
FAUX !

Selon le président de l’Union francophone des Magistrats de la Jeunesse, Eric Janssens, ceux-ci demandent le moyen de pouvoir appliquer les textes avec des outils excellents. Il ne faut pas plus de répression mais plus de cohérence.

L’enfermement n’est pas un but en soi. « Un discours sécuritaire donne l’illusion qu’enfermer est la solution. Or lorsque qu’un jeune est mis à l’écart, la question de « l’après » se pose ».

Et de rappeler que la grande majorité des dossiers jeunesse traités par les parquets concernent des jeunes eux-mêmes en danger.

Cette législature n’a pas permis en Communauté française d’augmenter sensiblement les moyens pour l’aide et la protection de la jeunesse.
FAUX !

Dans le cadre du plan pour l’aide à la jeunesse, diverses mesures ont déjà été prises. A titre d’exemple, les services SAJ/SPJ ont été renforcés de 79 ETP (équivalent temps plein), soit 1.476.082 euros. D’autres mesures ont renforcé pour 626.567 euros les AMO (prise en charge de situations individuelles), pour 939.920 euros les SAS (décrochage et exclusion scolaire), pour 127.577 euros les Familles d’Accueil d’Urgence, etc.

En outre, la réforme de la CIOC va très bientôt toucher à sa fin. Elle va permettre une transparence et une rapidité de mise à disposition des données en matière de capacité des services publics et privés de l’Aide à la Jeunesse.

Enfin, une nouvelle section fermée à Wauthier-Braine (697.315 euros) va permettre de réaliser 80 prises en charge annuelles supplémentaires en section fermée pour les mineurs délinquants.

mercredi 30 avril 2008

Fin du plan hivernal: “ A luche!”


Interpellation de la conseillère Fabienne Manandise-Janot au Président du CPAS et échevin de l’action sociale Bernard Dallons .

Fin du plan hivernal: “ A luche!”

Comme chaque année, le 31 mars voit la fin de la mise en application du plan hivernal et la fermeture des 10 lits supplétifs de Châtelet ainsi que les 5 lits d’urgence à Lodelinsart et Ulysse. A l'approche de cette échéance, les travailleurs sociaux n'ont pas manqué de tirer la sonnette d'alarme. Les conditions climatiques étant très rudes pour la saison.

Ne trouvant pas d'écho favorable, l'animateur de rue, Denis Uvier de l'asbl Solidarités Nouvelles avait décidé, comme personne ne l'ignore, d'installer un campement de tentes dans la ville de Charleroi. Dès la première nuit, 9 sans abris ont pu être accueillis. La preuve que les débordements existent et qu'il subsiste un écart considérable entre la réalité du terrain et les discours politiques.

En effet, les autorités communales se basent sur des statistiques incomplètes qui ne tiennent pas compte des personnes livrées à la rue lorsque les abris de nuit sont saturés.
Quelques chiffres bilan du campement du premier au 27 avril:
221 nuitées dont 48 personnes différentes pour la grande majorité des carolos effectivement 6 nuitées pour sans papiers.

Cet état de fait révèle l'absolue nécessité de revoir le système en y apportant une solution durable.

Face à l'immobilisme de la Ville, je ne peux que constater un manque flagrant de volonté politique à Charleroi. Je vous entends déjà Monsieur Dallons me parler de la structure pluripartenariale pour l'hiver 2009-2010, sur laquelle je ne ferai pour l'heure aucun commentaire, si ce n'est le manque de communication totale de l Échevin envers les conseillers.

Mais concrètement, que faisons-nous à ce jour? La situation des sans abris est inacceptable. Leurs droits fondamentaux sont bafoués. Allons-nous encore longtemps fermer les yeux sur cette réalité si dérangeante?

Financement allez vous me dire, alors ok allons-y. Le relais social reçoit la somme globale de 1.532.000 EUROS via le régional, le relais social reversera de ce montant 480.000 euros au CPAS et 240.000 euros à la ville source relais social 2006 je ne compte même pas ici le financement via le contrat de sécurité(Ulysse et Carolo rue).

L'accueil de soirée en période hivernale est couvert par le régional, ainsi que les éducateurs de Châtelet sous contrats APE.

Il faut arrêter de dire que les sdf coûtent très cher à la ville, c'est faux les frais sont couverts autant par le régional que le fédéral via le contrat de sécurité.

Nous savons tous que la ville compte plus de 200.000 habitants et que les besoins sociaux pour les personnes précarisées sont énormes au sein de notre ville, devons-nous pour cela accepter que ces personnes sans abri soient laissées sur le carreau.

Monsieur le bourgmestre nous avons bien plus de 30 sdf à Charleroi puisque au CPAS il y a actuellement 117 adresses de référence sans compter les 20 demandes en attente . A ce que je sache ces personnes ne sont pas logées au CPAS,elles sont sans-abri!

Chaque soir,à 'Ulysse, la tension est palpable. Les sans abris doivent se soumettre au jeu cruel du tirage de cartes. Au petit bonheur la chance pour qui tirera la bonne couleur, il pourra avoir un lit pour la nuit.

Je ne peux m'empêcher de repenser de nouveau à vos propos, Monsieur Dallons, lors de votre visite au campement de sans-abri, le mardi 1e avril. Vous vous êtes empressé de proposer un logement à l'hôtel les Baladins aux personnes restées sur le carreau. En réalité, seules deux d'entre elles auraient pu profiter de cette solution d'urgence. Et par solidarité, aucun sdf n'a quitté le campement.

On annonçait début avril des températures de 0 à 5 degrés. Loin de s'en émouvoir, la ville n’exprime aucune volonté de mettre en place un plan d’urgence bis après la fin du plan hivernal pour permettre à ces personnes d’avoir un toit lors de telles conditions météorologiques!

SOUVENT vous comparez la ville de Charleroi avec la ville de Liège, savez-vous qu'à Liège ils ont en période hivernale 75 lits? Plus les 25 lits de la défense..

Charleroi compte un nombre plus élevé d'habitants et de personnes très précarisées? La ville a- t-elle bien rentré les demandes de subsides tant au niveau fédéral que régional pour satisfaire réellement les besoins à couvrir pour les structures d'accueil Carolo pour sans abri? Les chiffres communiqués aux instances sont -ils exacts, je m'interroge...

La politique sociale ne devrait-elle pas être proactive plutôt que réactive comme elle tend à l'être actuellement?

Ne pourrait- on pas mettre fin à cette problématique récurrente à Charleroi?