mardi 1 avril 2008

Demain nos noms peut-être grossirons la liste...


Ce soir dans tous le pays des sans-abri serons remis à la rue" fin du plan hivernal!"

Allons-nous accepter l'inacceptable? C'est l'indifférence qui tue.

Notre pays participe activement à l'effort internationnal pour éradiquer la pauvreté, nous devons le faire c'est une question de partage de richesse et de solidarité envers les pays qui en ont le plus besoin.

Que dire que notre pays ne sache déjà sur le sans abrisme, la France à su tirer son épingle du jeu suite à l'action Don Quichotte en proposant un plan digne de ce nom!

La Belgique quant à elle se contente d'abriter les sdf de décembre à mars! et puis c'est à L'uche!

Quand on est sdf on l'est pour plusieurs mois! hiver comme été!

Ce soir Denis Uvier éducateur de rue à Solidarités nouvelles dit NON au système, il se révolte, il est inconcevable de savoir que ce soir des hommes dormiront à la rue dans le froid!

Une nouvelle fois, il dressera des tentes dans le centre ville de Charleroi! Quinze personnes, peut être les connaissez-vous...Demain peut-être ce sera notre tour, agissons tous ensemble pour lutter contre la précarité galopante dans notre pays.

Je vous lance une idée soyez le parrain d'un sans-abri. Ne cautionnons pas ce refus de la misère et le manque de structures avec un réel projet d'accompagnement et d'insertion! Il suffit de bricoler, construisons enfin pour aider ces personnes à se relever!

Portable de Denis: 0472715718

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Salut Fabienne,

Qu'entends-tu par parrainage d'un sans abri? Pourrais-tu préciser ton appel, ton idée?

Merci et courage pour cette nuit (j'espère qu'il n'y en aura pas d'autres).
Michèle.

Anonyme a dit…

J'allais te poser la même question, courage à tous, si on peux faire quelque chose, communiques le nous.
Bizzz à toi et à Denis

Anonyme a dit…

Bojour Fabienne,
J'ai lu ton message, tu peux donner une précision sur le terme parrainage.
D'autre part, j'ai encore quelques meubles dans le grenier et mon beau-frère quitte son domicile, il aissera sans doute des choses. Dis-moi si tu sais venir les faire enlever ou les enlever personnellement.
Courage, bisous à vous deux.
Luc, Renlies